Jasmin (En Pause)

Chapitre 3 : Nuit mouvementée

Meera.

Ma mère et moi avons énormément discuté de mon père, elle m'a dit que mon père était beaucoup plus qu'un toxico ou un homme violent, il était dans la mafia, un sbire qui vendait des drogues au habituer, mais un jour la police l'a arrêté, il était allé en prison et avait écoper de trois ans de prison c'était il y a huit ans, ma mère s'était toujours demander pourquoi il n'était jamais revenu. Mais c'était pour le mieux s'il était revenus il n'aurait causé que le chaos dans notre famille. Nous avions pris une chambre d'hôtel le temps que son ami vérifie que l'appartement n'était plus un endroit dangereux. La chambre d'hôtel était magnifique, deux lits une place avec des matelas super confortables, une petite télé en face et une commode en bois pour accueillir nos affaires, une fenêtre avec une vue sur un petit parc en bas. La salle de bain comporté une baignoire et à coter des toilettes simples. Ma mère s'était endormie très vite, j'étais aller me réfugier dans la salle de bain, je voulais absolument prendre un bon bain histoire de bien finir cette journée qui était juste épuisante. Il était 6 heures 30 quand je rentré dans le bain, mais mes pensées apparaissaient de nouveau.

Grosse vache, arrête de manger, assis toi par terre tu prends toute la place, personne ne t'aime, tu aies la définition même d'une personne hideuse et sans avenir.

Depuis petite je subissais toute sorte de remarque, j'étais ronde, j'avais de grosse cuisse, un gros ventre, un double menton qui n'apparaissait pas souvent et des bourrelets, je me détester mais j'ai finis par avancer, ne pas écouter toute les critiques inutiles sur mon corps, il y a des jours ou je me trouve vraiment belle et d'autre ou j'ai juste envie de ne plus manger, de tout évacuer. Je suis une femme d'un mètre soixante-cinq, j'ai des grosses cuisses, un petit ventre apparent, beaucoup de hanche, des grosses fesses et des seins de taille moyen. Je n'étais rien des standards de beauté de notre époque et pourtant beaucoup d'homme me draguer mais chacun avait un point en commun, ils me voulaient tous dans leur lit. Voilà la véritable vie d'une femme grosse dans notre société, une femme avait dit sur les réseaux « Les grosses c'est comme des chaussons, tu es bien à l'intérieur mais tu ne sors pas avec ». Cela reflète parfaitement notre société. Heureusement, je n'écoute plus toute les critiques et cela me passe au-dessus même si parfois c'est compliqué on avance sans se retourner.

Je sorties de la baignoire 1 heure après, ce bain m'avait fait un bien fou, je remis ma robe de soirée car nous n'avions pas eu le temps de récupérer d'autre affaire, en arrivant devant les lits, je vis ma mère dormir paisiblement, elle était tellement fatiguée à cause de son travaille et voir ses cernes et la fatigue dans ses yeux me briser, elle mériter du repos. Je me dirigeais vers mon lit puis je m'allonge et ferme les yeux. Doucement, je rejoins les bras de Morphée.

Ma mère se réveilla à 14 heures, je l'avais entendu se diriger dans la salle de bain et quelques minutes après l'eau couler. Quant à moi je me lever vers 15 heures, je m'étais assise sur mon lit en tailleur et pris mon téléphone. Il avait 16 pourcent de batterie. Heureusement que nous allions rentrer chez nous aujourd'hui. Mon téléphone afficher plusieurs messages. Tous proviennent de Math sauf un.

Math : « J'espère que tu vas bien on se voit bientôt, passe le bonjour à ta mère de ma part ! »

Math : « Mémé, ta oublier tes tampons chez moi, viens les chercher c'est relou, mes plans culs croit qu'il y a une meuf chez moi ! »

Math : « Oh répond, tu fou quoi ??? d'habitude dès 10 heure t'es debout ! »

Math : « T'a intérêt à me dire pourquoi y avait autant de bordel chez toi ! j'ai eu ultra peur ! »

Puis le fameux message de cet inconnu...

Inconnu : « Tu étais magnifique dans ta robe hier mi muñeca » j'étais perdu, qui sa pouvait être est comment avait-il eut mon numéro de téléphone pire encore, comment ça « ma poupée », je ne comprends plus rien, ma mère arriva et me sorti de mes pensées en disant.

- « Ma chérie, Jùan est passer à la maison il a dit que tout était ok, on peut y aller, il ne dormira pas chez nous avant quelque semaine, donc prend ton temps pour un peu ranger ta chambre et aussi, ton premier jour et demain donc aujourd'hui tu vas aller visiter les lieux, je viens avec toi ne tant fait pas. » je pris en compte ses informations puis me lever pour faire le lit, ma mère m'attendais déjà en bas de l'hôtel, je ne préférer pas lui parler du message, ça allait l'inquiéter plus qu'autre chose, j'arriverais à gérer ce détail seul. Puis je rejoignais ma mère pour partir.

Arriver dans l'appartement qui était encore s'en dessus, dessous, je me dirige dans ma chambre. L'appartement contenait deux chambre une pour moi et l'autre pour ma mère. Quand on rentrer dans l'appartement on pouvait observer le salon, contenant un canapé noir et un tapis blanc et devant une petite télé, il y avait aussi une table avec quatre chaise et juste à coter du salon se trouver la cuisine, un plan de travail, un évier, un lave-vaisselle, un four, un frigo et une plaque de cuisson étaient dans celle-ci. Quand on revenait dans le salon, sur la gauche se trouver une porte qui mener au couloir, cinq porte était visible depuis le couloir, celle de ma chambre, celle de la chambre a ma mère, les toilettes, la salle de bain et un placard a balaie. Un appartement qui ne coûte pas trop chère à l'année parfait pour ma mère et moi.

J'entre dans ma chambre encore en Bazard et m'assis sur le lit. Je jetais des coups d'œil un peu partout dans ma chambre quand je vis un post It coller à mon bureau, je me levai est attrapa celui-ci. Il y était inscrit.

- « Au plaisir de bientôt te rencontrer, mi muñeca. »

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NDA: 

C'est fou ce qu'il se passe vous trouvez pas? Qui s'infiltre chez vous pour poser un post-it... 

Bonne lecture ! <3