Chapitre 6 : Sauvetage

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Meera.

J’étais pétrifier, mon téléphone en main je le regardais puis l’éteignis aussitôt, c’était ma mère qui t’entais de m’appeler, elle devait être inquiète, mais pour le moment je dois me concentrer pour ma survis.

- « Raph t’as entendu ça ? c’était une sonnerie de téléphone non ? VITE ENFFONCE LA PORTE ! » cria t’il a son « ami »
enfin je le supposer, mais là n’étais pas la question je devais trouver un endroit pour me mettre en sécurité, je ne veux plus revivre des agressions.

Je décidais de courir vers mon placard et de fermer de l’intérieur, c’était là ou je me refugier quand j’avais peur des monstres étant petite.

Un gros fracas se fis entendre, le verrou de ma porte n’avais pas tenue, je pouvais entendre les pas lourds des deux hommes qui rentraient dans ma chambre. J’avais pris mon téléphone avec moi, mais je n’aurais peut-être pas du.

- « Ou te cache tu petite princesse on sait que tu es là, on veut juste discuter puis on repart vite, pas vrai louis ? » Il prit un ton mielleux pour dire cette phrase et son acolyte répondit avec une voix faussement intéresser.

- « Evidemment que nous n’allons pas t’agresser ma petite chérie, on veut seulement discuter avec toi... veut tu bien sortir de ta cachette ma jolie ? » j’étais figé, je refusais de faire un mouvement ou même respirais, mais eux par contre retourner toute ma chambre, surement était -il à la recherche d’un objet ou plutôt de moi, ce qui je pense était le cas.

Mais ce qui devait arrivais, arrivas... Mon téléphone en mains il se remis a sonné, tous mes sens était en alerte, quand je regardais mon téléphone je vis que c’était un numéro inconnu, pourquoi appel t’il toujours au mauvais moment sérieux. Puis un des hommes dans ma chambre explosa de rire, un rire franc et glaciale puis l’autre chuchota à coter de la porte du placard.

- « Tu vois ma petite princesse, on t’a trouvé. » puis même sans le voir j’étais sûr que son visage afficher un rictus glorieux.

Je pleurer silencieusement dans le placard je pouvais les entendre débattre de comment me faire sortir en douceur.

- « Raph sérieux une tape sur la tête et elle tombe au sol, t’inquiète ce sera rapide et efficace » puis l’autre répondit.

- « Louis tu sais bien qu’il nous a demander de ne pas lui faire du mal, seulement la ramené là-bas. » Attend, ils allaient me kidnapper là ? je suis débile à le comprendre que maintenant... Alors avec un élan de courage je pris mon téléphone et envoya à ma mère un message bref.

Meera : « Maman, deux hommes sont à la maison, quand tu reçois ce message trace mon téléphone. »

Puis la porte du placard s’ouvrit dans un grand fracas, deux hommes devant moi, grand et musclé, tous deux avaient des cheveux bruns mais un avait les yeux bleus et l’autre des yeux verts ils avaient une chose en commun, un tatouage, une sorte d’étoile sur la main.

- « Bon ma jolie arrête de nous détailler et suis-nous bien gentiment. » Donc Louis était celui au yeux vert et Raph celui au yeux bleu, j’étais bouche bée impossible de sortir de ce placard et encore moins de marcher avec eux.

Alors Louis me pris par la taille et me plaça sur son épaule tel un sac a patate, puis il dit ‘une voix qui me glaça le sang.

- « Ose crier ou appeler à l’aide quand on sera dehors et je te donnerais une bonne raison de crier, compris ma jolie ? »

Je répondis oui avec ma tête pour lui donner ma réponse. Puis ils m’amenèrent en dehors de mon bâtiment et me déposa dans une voiture. Je ne connaissais pas le model mais je pu reconnaître que celle-ci avait des vitres teinté, excellent pour kidnapper quelqu’un en toute tranquillité. Qu’elle ironie sérieux.
Raph monta sur la banquette arrière avec moi et sortis des menottes.

- « Attend je te promets de pas faire de faux pas ni de m’enfuir, tout sauf m’attacher je vous en supplie » ma voix se brisa en prononçant ces mots. Les deux garçons me regardaient bizarrement, mais Raph m’attacha tout de même, enfin je pensais être attacher seul mais il s’était menotter a moi, de sorte à ce que je ne puisse pas m’enfuir. Le silence régnait dans la voiture alors voulant briser le silence je dis d’une voix peu rassurer.

- « Ou va-t-on ? et pourquoi je dois y aller avec vous ? » Alors Raph pris enfin la parole devant moi et me regarda dans les yeux.

- « Tu sais que certains sont mort pour moins que ça, on va ou ta place doit être. Parmi nous. » Puis il sortit un bandeau et me le mettait sur mes yeux.

Je paniquai, j’avais peur et puis pourquoi j’étais à ma place avec eux ? Que voulait-il sous-entendre par-là ? Je me fis interrompre de mes pensées car je reçu quelque chose sur mes lèvres, un coton imbiber de je ne sais trop quoi, mais ce qui étais sûr c’est qu’après plusieurs inspiration et de panique, je m’endormis.

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NDA:
Des hypothèses ? 🫶🏼

Jasmin (En Pause)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant