Jasmin (En Pause)

Chapitre 7 : Vérité

Meera.

J'ouvris les yeux difficilement, j'étais sonner, comme si je m'étais pris un éléphant sur
la tête, ma vision étais flou mais des bribes de conversations me virent au oreilles.

- « ... vous...dit qu'en cas...danger ! Vous êtes... les gars sérieux, je ne veux pas qu'elle... ou qu'elle...peur...moi ! »

Cette voix m'était familière, comme une impression de déjà-vu. Ma vus se fit moins

flou, je détailler la pièce, une chambre assez grande pour deux personnes, j'étais sur

un lit deux places et une couverture douce avait été placé sur moi. Une douce

attention qui me réchauffa le cœur, ma mère m'apportais souvent ce genre d'attention quand j'étais jeune.

Mais ce n'étais pas le moment de ressasser le passer mais de trouver une issus pour rester en vie. La poignée de la porte s'abaissa, mon
premier réflex fut de faire semblant de dormir, fermer les yeux, ne pas avoir une
respiration contrôler et NE SURTOUT PAS PANIQUER.

Des hommes rentrèrent dans la chambre, je supposais qu'ils étaient trois au vu des
bruits de pas. Un des hommes se rapprocha du lit au rebord du lit. Il plaça une de
ses mains près de ma tempe et me caressa les cheveux.

- « Ne faite plus jamais de mal à ma petite princesse, elle méritait de vivre dans
l'ignorance de tout ça mais elle court un trop grand danger... si deux gars aussi
débile arrive à la kidnapper je n'imagine pas ce qu'il pourrait lui arrivais. Raph, Louis
quand elle sera de retours chez sa mère, surveiller là. Je ne veux pas que l'on
m'annonce qu'elle est morte... Tout au monde sauf elle... Ma petite princesse, ma
Meera, Mon petit rayon de soleil. »

Je ne sais absolument pas qui étais cet homme qui me voyais comme la prunelle de
ses yeux, comme une chose si fragile. Mais recevoir autant d'amour de quelqu'un me
fait du bien, soudain Raph ou louis se mit à parler tout doucement.

- « Patron pour son bien ne vaut-il mieux pas qu'elle reste avec nous ? Vous êtes la
personne la mieux placer pour le faire, elle a besoin de votre présence et surtout
besoin de savoir la vérité. »

Pendant son récit l'homme avait continuer ses caresses dans mes cheveux, je
pouvais sentir son regard sur moi, un regard plein de douceur et d'amour. Puis le
sentis caresser ma joue et rapprocha sa bouche près de mon oreille et me
chuchota...

- « Je sais qui tu es Meera, ce n'ai pas la première fois que je te vois, après tout, tu
es ma sœur. Ne fait jamais actrice, ton jeu d'acteur c'est un zéro pointé. » Puis il se
mis à rire et me redressa pour me prendre dans ses bras. J'étais choqué ? d'un
j'avais un frère et de deux ma mère m'a mentis. Je chuchoter à son oreille.

- « Comment ça mon frère ? Puis attend... » je me défis de son étreinte et le regarda
de la tête au pied.

- « TU EST LE GARS QUI M'A SAUVER ! c'est toi mon sauveur ! » Je le regarder
désemparer de la situation, il prit les choses en mains et il dit au garçon de s'en aller,
eux étais rester au fond de la salle tout le long de sa tirade. Puis il me regarda dans
les yeux et me dit d'une voix ferme.

- « En réalité je suis ton demi-frère, mais récemment notre père m'a avoué que tu
exister, il était inquiet pour toi, avoir une mère tel que Livia Alves doit être dur à vivre.
Papa n'est pas un homme mauvais, il voulait seulement vivre une vie paisible, sans
armes, sans drogues sans tout le bourbier qu'es ta mère. »

Pourquoi parlait-il de ma mère comme ça ? c'était mon père le méchant pas ma
mère ! ma vue s'embua, puis j'explosa et lui cria.

- « COMMENT OSE TU PARLAIS DE MA MERE COMME CA ?? ELLE M'A TOUT
APPRIS, C'EST LA SEUL QUI ETAIS LA POUR MES ANNIVERSAIRES ! LA SEUL
QUI M'A ELEVER ET NE NOUS A PAS ABANDONNER, PAS COMME NOTRE
LACHE DE PERE QUI LUI ETAIS UN TOXICO COMPLETEMENT FOU !! Tu
S'AVAIS QU'IL AVAIS FRAPPER M'A MERE ? QU'IL N'A RESPECTER AUCUNE
DE TOUTE SES FOUTUS PROMESSE ? TU DEBARQUE DE NULLE PART ET TU
PENSE QUE JE VAIS T'ECOUTER PARLER DE MA MERE DE LA SORTE ??
NON...non... elle n'est pas un bourbier... Elle ne m'aurait jamais mentis...Jamais... »

j'éclater en sanglot, mon frère me pris dans ses bras et me caressa les cheveux, puis
d'une voix calme et douce il me dit.

- « Meera ma petite princesse, ne me croit pas si tu ne veux pas, je te laisserais
découvrir la vérité par toi-même en attendant je te laisse le choix, soit tu restes avec
moi soit tu restes avec ta mère mais j'envoie Raph et Louis te surveiller. »

J'étais heureuse d'avoir à faire un choix, je devais s'avoir la vérité, je devais être sûre
qu'il avait faux... que toute ma vie n'était pas qu'un mensonge...

- « Je dois être sûr de tes propos, je veux s'avoir la vérité de moi-même. Au faite,
comment t'appelle-tu ? »

je le regardais dans les yeux, il était un homme grand et musclé, des cheveux bruns comme les miens et des yeux marrons tout comme les miens, et le mate de notre peau n'y échapper pas, si ce n'étais pas mon frère c'est qu'il y avait un vrai problème, notre ressemblance était frappante.

- « Je m'appelle Dylan, Dylan Costa, mais appelle moi Dydy ! »

......

Après un moment Dylan me ramena chez moi comme si rien n'était arriver, je
rentrais et ma mère étais au milieu du salon, assise sur le canapé et me lancer un
regard noir, lourd de sens, dans ses mains se trouver quelque chose.

Une boîte noire.

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NDA:  Bonne lecture et souvenez vous, ne faite confiance a personne !