Chapitre 4 : Déferlement

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Tw : Violence

Meera.

J'étais terrifier, l'ami de ma mère nous avez certifié qu'il n'y avait plus aucun danger, alors pourquoi cet inconnu me suis partout et pourquoi m'appelle-t-il toujours « Ma poupée » qui plus est en espagnol. Je ne comprenais que la moitié de ma vie depuis la fin de cette soirée en boîte de nuit, ma vie avait changé. Le danger était proche de nous, de plus en plus je ne me sentais plus en sécurité nulle part j'avais peur. Mais je ne voulais pas faire paniquer ma mère alors je ne dis rien, peut être que c'était une mauvaise idée mais ce n'était pas grave, le mal avait déjà frappé.

Je sortis de ma chambre après m'être changer, j'avais opté pour une tenue professionnel, une chemise blanche et un pantalon beige qui s'accorder parfaitement avec mon blazer. Des talons blancs et un make-up simple, du gloss avec du mascara, rien de plus classique. Quelques bijoux et un sac à main et nous étions parti pour aller visiter les lieux de mon futur job.

Ma mère conduisait notre Audi TT blanche quand elle me dit.

- « Ma chérie si dans ton nouveau boulot il se passe quelque chose de grave préviens moi, une boîte de nuit c'est dangereux même si tu travailles dedans. » Je la regardais avec compassion, ma mère est une femme vraiment courageuse qui à affronter beaucoup de situation compliqué, entre les problèmes de santé et d'argent, la vie n'a pas était facile. Une femme qui a su élever sa fille seule, même après le décès de grand-mère, elle a su remonter la pente seule, elle n'a pleuré qu'une seule fois, devant la tombe de sa mère.

Je répondis que tout irait bien qu'elle n'avait pas à avoir peur pour moi. Nous étions arrivées devant la boîte de nuit qui n'étais pas très loin de chez moi. La devanture de la boîte était simple, une double porte avec devant une barrière et un vigil qui surveiller. Nous arrivons au niveau du vigil et ma mère lui dit.

- « Bonjour Livia Alves mon rendez-vous est dans 10 minutes » le visage du vigil pâlit et juste après nous étions à l'intérieur du bâtiment. La même boîte de nuit que ce fameux soir, la destruction de l'appartement. Un vieille homme d'environs cinquante ans se présenta à nous.

- « Bonjour, je suis Clark, Monsieur Clark le dirigeant de cette boîte de nuit, vous venez pour l'entretien et la visite des lieux ? » il me regarda puis me tendu la main un sourire au lèvre. Je lui serra en retours, ma mère répondit aussitôt.

- « Bonjour, c'est exact, je vous laisse vous occupez de ma fille je dois aller à mon rendez-vous. » Elle se tourna vers moi et me dit de vérifier mon téléphone au cas où elle appellerait.

- « Meera Alves je présume, veuillez me suivre dans mon bureau. » Je le suivais sans rien dire beaucoup trop occupé par l'idée que l'inconnu puisse me suivre.

Nous rentrions dans son bureau puis il me dit de m'assoir, il fit le contour de la table puis s'assit face à moi.

- « Donc Meera Alves, j'ai quelques questions pour vous. Avez-vous un problème de santé quelconque ? si oui, même si c'est une allergie dite le moi. » Je le regardais puis acquiesça et répondit.

- « Effectivement, je suis asthmatique et j'ai quelque problème au poumon. » Il noter sur son carnet pendant que je parlais, l'entretien passa très vite, il poser des questions pour savoir si je tiendrais les services de nuits, si les horaires fixer m'arranger etc. Puis on sortit du bureau il me fit un rapide tour puis m'appris quelques techniques de serveuses, l'heure de rentrée avait sonner, je décide donc de dire à demain au boss puis partie.

Je quitter la boîte est pris le chemin pour rentrer chez moi, ma mère ne m'avait pas envoyé de message signe qu'elle devait encore travailler, donc pour ne pas la déranger je décidais de marcher jusqu'à la maison, il devait être environs 18 heures, la nuit n'était pas encore tombée mais les rayons du soleil s'affaissaient.

Je marchais, écouteur dans les oreilles et téléphone en mains quand un mauvais pressentiment me gagna, je décidais de regarder derrière moi et effectivement mon instinct avait raison, un homme habiller de noir, une cagoule sur la tête, on ne pouvait discerner son identité, il se mit à courir vers moi. Je courus a une vitesse folle, c'était soit courir soit la mort, mon cardio ne me rendez pas service et je fini par trébucher et tomber par terre, l'inconnu se jeta sur moi et me mis un coup de poing sur la joue, il s'assit à califourchon sur moi puis il me détailla, voulant surement trouver de la peur dans mon regard et il avait eu ce qu'il voulait, derrière son masque je pu distinguer un rictus mauvais de sa part mais un deuxième coup de poing s'écrasa contre ma joue, il me martelait de coup de poing au ventre, ma lèvres s'était ouverte, je cracher du sang et saigner du nez. L'inconnu s'arrêta et parti au moment ou un homme assez grand intervenu. Il avait une petite barbe bien taillé et une musculature impressionnante, il accouru vers moi et me demanda si tout aller bien, enfin si je n'avais pas trop mal.

- « Mademoiselle, pourquoi ne pas avoir crier ou même vous débattre, j'espère que sa iras mieux, je vous raccompagne chez vous ! » il me tendit la main pour me relever et regarda attentivement mon visage, il y avait une pointe d'inquiétude mais autre chose que je ne sus expliquer. Il me dit alors.

- « Faite attention à vous, les hommes de son genre ne sont souvent pas très commodes et surtout font ça pour se soulager eux même... » Je le regarder puis lui tendit la main.

- « Je prends note merci ! Mon nom est Meera Alves et vous êtes ? » je le regarder intéresser par ma propre question.

- « Enchanté Meera Alves, qui je suis ? Votre sauveur cela me semble évident » Il prit ma main puis y déposa un baiser mais ne put cacher son sourire satisfait aux lèvres.

Peu importe si vous êtes mon sauveur, je trouverais qui vous êtes vraiment et ça quitte à en perdre des plumes. 

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NDA: 

Qui est donc ce mystérieux inconnu? Très galant de sa part de sauver Meera n'empêche.

Bonne lecture! <3

Jasmin (En Pause)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant