31. Épilogue; Je le veux

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Trois ans.
Trois ans que je suis avec Dabi, et ce jour allait être très spécial pour nous.

Deux mois plus tôt, Dabi m'avait demandée en mariage.

Je vais vous épargner toutes les émotions que j'avais ressenti à ce moment-là.

Mais à présent, je me préparais en compagnie de Toga qui était vêtue d'une simple robe rouge moulante.

Toga, qui a enfin trouvé son véritable amour dans la rue, il y a quelques semaines.

Toga: Tu es vraiment sûre de ton choix?

T/p: Oui, Toga. C'est cette robe et pas une autre. Je le sais. 

J'étais passée à la boutique qui vendait des cigarettes et la dame avait été très gentille avec moi.

On avait pris le temps de faire connaissance et  c'était elle qui m'avait le plus aidée dans ma guérison. 

Elle m'avait d'ailleurs donné la robe dont je en vêtissais en ce moment.

C'était celle qui s'était montrée la plus enthousiaste quand je lui ai annoncé mon marriage.

Elle m'avait confié cette robe noire légèrement transparente avec de petites dentelles de même couleur.

Elle ne comportait pas de longue traîne ou quoi que se soit, mais elle était parfaite.

Elle avait déclaré que c'était la sienne avant moi, et qu'elle voulait que je l'aie car elle savait que ça allait m'aller comme un gant.

Mes cheveux avait été attachés en une sorte de chignon orné de roses rouges.

Toga: Tu veux vraiment que Dabi te saute dessus en plein marriage?

T/p: Que veux-tu dire?

Toga: Qu'il va te trouver si belle qu'il va vouloir te prendre sur place.

Je dissimule mon léger sourire qui n'avait rien à faire ici.

Toga: Mme Sato à accepté de t'accompagner?

J'hoche la tête.
J'étais toujours émue du fait qu'elle ait voulu, et insisté pour que ce soit elle qui m'accompagne jusqu'à Dabi à la place de mes parents qui sont, l'un plus de ce monde (j'en suis fière), et l'autre disparue.

Étant donné que les chances qu'un prêtre accepte de nous marier, Dabi et moi, Uta avait proposé de le faire.

Il aurait eu une carrière dans une église, il y a longtemps.

Quant à Haku, se sera le garçon d'honneur et Toga ma demoiselle d'honneur.

Toga: Je peux revoir la bague?

Je lui tend ma main.

La bague était en argent accompagnée d'un obsidienne noire.

Elle était sobre, mais elle était aussi belle que n'importe quelle autre bague.

Trois coups résonna alors dans la pièce.
On ne voulait pas se marier dans une église ou dans la rue.

Alors, on avait décidé de louer une petite salle pas loin de la base.

Mme Sato entra, le regard plein de joie et de souvenirs trop profonds pour qu'elle en parle.

Mme Sato: Tu es sublime.

Elle prit mes mains dans les siennes.
Elle semblait avoir rajeuni avec ces cheveux coupés en carré et cette robe blanche et longue.

T/p: Moins que vous.

Ça Avait Toujours Été Ainsi (Dabi X Reader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant