Chapitre 8

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*-Je suis sûr de savoir ce que tu as Newt !
-Tu veux pas me lacher cinq secondes avec ça...
-Ne t'en fais pas Newt, j'ais foie en l'humanité et aux scientifiques. Ils trouveront un remède. J'en suis sûr.*

Avec Newt on avait décidait de rester dans ma chambre à cause de sa jambe et de la pluit qui tombée de plus en plus fort. On avait décidé de regarder un film : Le Hobbit, il est vrai que je n'avait pas eu à insister car le garçon à mes côtes avait l'air de bien aimer. On s'était donc installé sur mon lit, Newt avait posé délicatement sa tête sur mon épaule, moi ... Bah je n'osais pas bouger. C'est juste au moment où Biblon rejoint les nains et GandAlf déjà partit à cheval que un bruit strident se fit entendre. Je sursauta et réveilla Newt, qui, oui comme vous l'avez deviné, s'était assoupis.
Je me relève aussitôt sous le regard intrigé de mon copain blond.
-Qu'y a t-il ?
-T'as pas entedu?
-Les grifeur ? Si.
Les grifeurs étaient les montures des fondus, ce qui veut dire qu'on devait se battre contre les fondues mais aussis contre des bestioles mis-animal mi-robots.
-Reste là et bouge pas. Si tu fais du rafus ils vont nous repérer.
-Newt, tu crois vraiment que je veux attendre la ?
-Bien-sûr que non mais je veux qu'il ne t'arrive rien.
Après quoi j'oblige Newt à se lever et à me suivre. Je n'allais pas rester ici à ne rien faire.
-On va où?

J'avais attrapé son poignet.

-Dehors.

Je le sentais se tendre. Il ne devait sûrement pas aimer ce que je venais de dire.

-Mais t'est taré ?!
-Oui
-Non
-Quoi non?
-Normalement t'es normal.
-Bah pas là.
-Pourquoi ?
-Je vais pas rester la.
-Ok...
Et Newt se degage le bras et s'approche de la fenêtre. Un grifeur passe la tête et pousse un gros hurlement. Moi je pris mes jambes a mon coup.
-THOMAS !! MAIS TU FOUS QUOI ?!!!!
-Désolé mais faut partir !!
-Sale lâche !!
Et Newt s'élança derrière moi. De toute façon il n'avait pas vraiment le choix.

Pdv Newt.

Je suis Thomas, le garçon nous mène dans sa grande cuisine on sort dans le jardin, il pleut, ma jambe me fait mal des fondus se promènent dans notre petite ville. ... Quoi de mieux !?
-Newt ? Je fus donc tiré de mes pensées par Thomas. Celui-ci s'était arrêté devant moi, il me regardait l'air grâve.
-Ca va Newt ?
-Oui pourquoi ?
-Tu pleure.
-Moi, je pleure ?
-Oui.
-Pas possible. Dis je en me frottant les yeux.
Comment se fait-il que je me rende pas conte de mes propres faits et gestes.

-Viens Newt. Dit Thomas en mettant sa main dans mon dos et me poussant. Je suis aux anges, mon Tommy a l'air tellement sur de lui même dans des moments oppressants. Personnellement ça va mais si je le voyais paniqué je pense que je ne pourrais m'empêcher de paniquer également.
Une sirène s'enclanche, je la connais : c'est celle qui prévient les habitants de devoir évacuer la ville. C'est alors qu'un fondue sort de je ne sais trop où est me saute dessus puis me fais tomber a la renverse. Le fondue me griffe violement le visage, un grognement de douleur s'échappe de ma bouche, Thomas a cours et donne un coup de marteau dans la tête du fondue. Moi, je me tiens mon visage qui me fais horiblement mal. Thomas se bat désormais avec la fondue. Thomas re donne un coup de marteau dans la tête de la fondue qui se mit à saigner, ce qui me dégouté profondément. Thomas me pris sous mes bras et me relève sauvagement.

Après avoir couru comme des fous on finit par s'arrèter, heuresement car la grifure de la fondu et ma jambe me font un mal de chien. Je m'assois par terre, Thomas s'acroupi devant moi.
-Ça va Newt ?
-Oui oui.
-Ça n'a pas l'air
-Si si.
-Tu as mal a ta jambe ?
-Un peu.
-Et ta grosse griffure ?
-Ça va.
-Arrête, mec !! Elle va du haut de ton front gauche au coté de ton monton droit.
-Et alors ?
-Bon alors on reprend.
Tommy le payera un jour mais la je préfére rester avec lui.
-Hé les gamins !!
Thomas et moi nous retournons. Il y avait un grand policier.
-Venez n'ayez pas peur .
Thomas s'avence et je le suis en boitant.
-Monsieur ou devons nous aller ?
-Suivez moi.
L'homme était très mal rasé et avait des cheveux châtains. Grand et costaud.

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Celà faisait depuis 2 heures qu'on était dans un bus. On devait être les derniers car il y avait plein de places libres. Newt en avait profité pour s'allonger et poser sa tête sue mes cuisses.
-Tommy tu crois qu'on est loing du terminus ?
-Je ne sais pas. Dis je en passent ma main droite dans ses cheveux.
-De toute façon nous allons à WICKED.

Le garçon se relava et posa sa tête sur mon épaule et finalement on arriva.

Je m'étais installer au fond de la salle de cinéma et maintenant on nous projecter un film sur la braise. Je n'arrivais pas à croir qu'il y avait toute cette violence. Newt semblait vraiment mal à l'aise, assis près de Minho.
-Les enfants, écoutez moi. Maintenant vous avez interdiction de sortir. C'est pour votre sécurité.
Voilà ce que nous disait Ava Page depuis ce qui me semblait des tonnes d'heures. Après qu'elle ait fini tous le monde sortit. Et Môsieur Minho nous rejoints avec Ben. Moi je m'éclipsa doucement et alla voir Chuck et Winston.
-Thomas !
Chuck se jetta dans mes bras. Quand il voulu ENFIN me lacher Winston me donna une tape amicale dans le dos. Tous n'était pas fini, il y avait encore de la vie. J'étais rassuré, il y avait plein de jeunes. Alors je décida d'aller dans la bibliothèque et de me laissa tomber dans un de ses vieux fauteuils.

Pdv Newt.

Au moment où Minho et Ben sont arrivé Thomas est partit discrétement. Cela me fais de la peine de voir que Thomas et Minho se détéste ainsi. Le film était horrible, ça m'engoissait de voir ces fondus. Mais ce n'était que la simple vérité. On ne peut pas ignorer quelque chose qui se passe juste sous nos yeux.

le lycée WICKED : Thomas , Newt , Minho ...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant