IV

188 13 1
                                    

"Les gens vous blessent et agissent comme si vous les aviez blessé"

"Les gens vous blessent et agissent comme si vous les aviez blessé"

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

Salle de réunion, Tokyo
Kurai pov

Trois heures. Bientôt quatre heures que je suis dans cette putin de salle de conférence avec ce putin de mafieu qui fait ses manières sur une de nos affaires.

Depuis maintenant 2 mois, nous n'avons pas fournit ce jeune homme en drogue, il se plaint comme un bébé qui n'a pas eu le joujou qu'il souhaite mais la raison pour laquelle on a arrêté de fournir est simple.

Tu ne paies pas. On ne donne pas.

C'est tout, il a eu 3 mois de retard par rapport à l'argent qu'il me doit en échange de ma drogue, tant qu'il ne me rembourse pas, je ne fournis pas c'est simple pourtant. Mais apparemment monsieur n'est pas content et ça commence à me taper sur le système de l'entendre pleurer comme un gosse.

Fernando Ramirez, mafieux espagnol, il est tout nouveau dans ce monde, enfin presque, son père dirigeait cette organisation et il est mort il y a 1 an, laissant ainsi la place à son fils pour le succéder, si il voyait son comportement je suis sûre qu'il se retournerait dans sa tombe, la seule raison pour laquelle cet homme est toujours en vie alors qu'il m'agace c'est tout simplement parce que mon père partageais un bon lien avec le sien, alors par respect pour leur histoire je m'abstiens de tuer le fils d'un ami de mon père.

Heureusement que mon bras droit est avec moi, parce que sinon je sens que j'aurais câblé depuis déjà un bon moment, depuis que cette réunion a commencé je n'ai pas dit un seul mot, je leur ai laissé un traitement silencieux et c'est peut-être mieux comme ça, mon ami lui-même sait que si j'ouvre ma bouche, sa sera pour lui dire mes adieux avant de le tuer.

Fernando- Écoutez, tout ce que je souhaite c'est ma drogue

Daiki- Et nous tout ce que nous souhaitons c'est notre paiement

Fernando- Je vous jure que je paierais mais pas pour le moment

Daiki- On ne veut pas de parole, on veut des actes, tant qu'on est pas rembourser, on ne fournira plus

Fernando- Mais faite pas chié bon sang-

Le jeune homme allait sortir son gun mais je sors mon pistolet avant lui et le pose sur mon bureau, un silence tendu prend place, une tension monte à l'intérieur de la salle, un seul mot de sa part et il pourra dire bonjour à son père en enfer, oui l'enfer parce que je doute qu'il soit accepté au paradis après tous les meurtres qu'il a commis.

AlphaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant