CHAPITRE 2

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Ben : Papa, c'est qui c'est gros connard.

Nous*en même temps*: Eh merde !

Klaus : Ben ?

Ben le regarda avec incompréhension, Luther fit un pas vers lui.

Luther : C'est vraiment toi ?

Julia : Et c'est qui les gens chelou sur le balcon, BORDEL !

Papa : Ce sont les Sparrow, mes enfants.

Tout ce mis à trembler. Je regardais Ben avec insistance. En même temps, à part Klaus, on voit pas des morts tous les jours. Mais là, il était bien vivant devant nous et ne semblait pas nous reconnaître. Les autres regardaient les gens sur le balcon puis notre regard se détourna sur le daron.

Cinq : Pardon, vous venez bien de dire que ce sont vos enfants ? C'est impossible, vous divaguez.

Papa : Bien au contraire, je suis bien placé pour le savoir il me semble.

Alors là, j'ai rien compris. Entre la résurection de Ben et de notre père et le fait qu'on se soit fait remplacer par un cube et des corbeaux, je suis totalement perdue.

Klaus : Y'a- Il y pas que moi qui voit Ben, il est vraiment là !

Dit-t-il l'air heureux.

Ben : T'a la classe le Kid.

Ses yeux se posèrent sur moi. Il me lança un sourir pervers et me fit un clin d'œil avant de reprendre.

Ben : Ta copine est pas mal non plus.

Je lui repondis avec un sourir ironique. Ça n'avait pas plu à Diego aussi. J'ai du le calmé avant qu'il dérape.

Diego : Regarde ma sœur comme ça encore un fois et je te jure que...

Julia : C'est bon Diego, t'inquiète.

J'avoue que le comportement de Ben à mon égard était déplacé mais il était plutot mignon j'dois dire.

Papa : Ils disent faire partie de l'Umbrella Academy. Une bande d'énergumènes fourbes, perfides et mécontents qui m'ont accosté à l'automne 1963, alors que j'étais en déplacement à Dallas. Autant vous prevenir, ils prétendent être ma progéniture.

Durant le discours de "père", Cinq guettait la malette du coin de l'œil, peut-être avait-il un plan pour nous sortir de ce bordel. Allison s'approcha du vieux. Elle semble aussi perdue, mais enfaite y'avait pas que nous car c'était vraiment bizarre.

Allison : C'est une blague. Cinq, c'est quoi ce bordel.

Cinq : J'en sais rien mais, c'est inquiétant.

Marcus : C'est vrai ce qu'il raconte ?

Vanya : Pas sur le fait qu'on est perfides, non mais...

Klaus*en lui compant la parole* : Nan, on est pas perfides. On est superfides.

Vanya : Mais c'est vrai qu'on est ses enfants et qu'ici c'est chez nous.

Luther : Ouais, ouais. On a grandit dans cette maison.

Alphonso*en se moquant* : Ouais, ouais. On a grandit dans cette maison.

L'aveugle rigola à cette blague, même si je trouvais qu'elle n'avait rien de drôle. Puis une autre fille plutot jolie continua.

Sloane : On aurait surement remarqué votre présence.

Kugelblitz (Ben HargreevesXReader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant