France :
En soit, il ne fallait pas grand chose pour faire le faire tourner de l'œil. Alors là, deux belles demoiselles l'ayant abordé, c'était comme Francis dirait "le jackpot". Bah, c'était un bon test pour savoir si monsieur était toujours un coureur de jupon ou non. Et en le voyant prendre le menton de cette demoiselle, tu étais prête à lui en foutre une, à Francis. Mais c'était tout l'inverse de ce que tu t'attendais de lui.- Vous êtes charmante, très belle demoiselle. Mais voyez-vous, mon cœur est déjà pris. Ne vous en faites pas, je suis certain que vous trouverez l'élu de votre cœur.
Après quoi, Francis revenait vers toi, surpris que tu l'embrasses sans aucune raison, de ce qu'il croyait.
America :
Il n'y voyait aucun mal, d'ailleurs il ne connaissait pas vraiment la notion de "drague", alors quand une demoiselle venait vers lui, il pensait que c'était simplement pour discuter ou parce que celle ci avait besoin d'aide. Alors, ne voulant pas que les demoiselles pensent qu'elles avaient une once de chance avec Alfred, tu avais mis un point un stratagème efficace qu'il pouvait utiliser lorsque tu n'étais pas avec lui. Et, par coïncidence, tu le voyais au loin, parlant à une jeune femme. Tu te disais qu'il avait bien retenu la leçon.- Ça te dira de venir avec moi ? Là où tu voudras.
- Je suis gay.
C'était tellement drôle de l'entendre dire ça, il était si fier qui plus est.
Canada :
Le pauvre n'était tellement pas habitué à se faire draguer, sans parler que cette pu- que cette demoiselle était beaucoup trop aguicheuse envers lui. Oh, tu savais que tu n'avais pas à t'en faire, personne n'était plus fidèle que Matthew, mais le voir aussi rouge tant il était gêné de subir cette demoiselle te faisait de la peine. Il faisait de son mieux pour s'en débarrasser... À son niveau.- J-j-je suis déjà a-amoureux... Laissez-moi, s'il vous plaît.
- Tu es si mignon~
- P-puisque je vous dis que je suis en couple... Je l'aime et je ne veux de personne d'autre...
"Oh... Matthew..." Pensais tu innocemment avant d'aller foutre ton poing dans la gueule de cette hum-hum.
England :
Disons que, Arthur était ce qu'il était. Un gentleman. Alors pour lui, hors de question de briser le cœur d'une charmante demoiselle comme plusieurs qui venaient l'aborder quelque fois où tu t'éloignais de lui. Tu ne cherchais pas à comprendre, rappeler Arthur à l'ordre suffisait. Entre autre, le "je vais voir Oliver" faisait qu'Arthur revenait vite vers toi en oubliant ces filles à qui il parlait. Chacun ses armes, du moment que ça fonctionnait.China :
Tu en rigolais. Sérieusement. Les jeunes femmes ou les jeunes hommes, Yao se faisait draguer par les deux genres. Alors oui, c'était drôle à voir quand il se faisait draguer par un jeune et que "mademoiselle", en parlant de Yao. Sans parler de Yao qui s'énervait après s'être enfin débarrassé de cette personne : "À l'époque, ça ne se passait pas comme ça aru ! Les jeunes d'aujourd'hui aru !!...". C'était tellement mignon et amusant.Russia :
En fait, tu avais plus peur pour autre chose. Déjà, jamais, ô grand jamais Ivan serait intéressé par quelqu'un d'autre. Mais il y avait ces quelques demoiselles ayant assez de courage pour tenter leur chance. En vérité tu avais de la peine pour elles... Vraiment. Ivan pouvait être si cruel à certain moment.- Je n'ai que faire de vous. J'aime une fille beaucoup mieux que vous. Et si vous essayez de faire quelque chose pour faire capoter mon couple, je vous traquerai et ferai de votre vie un enfer.
Certaine chose ne changeait pas tu supposais...
Italy :
Fût un temps où Feli pouvait tomber amoureux juste en posant son regard sur une magnifique ragazza, comme l'avaient expliqué deux trois personnes de son entourage. Tes amis te disaient même qu'un jour, Feli te ferait souffrir en te trompant. Peut-être. Mais tu ne les croyais pas. Il n'y avait pas moyen que Feli pense un instant à te tromper, même avec plusieurs filles autour de lui. À défaut de jouer au dragueur comme il le faisait il y a bien longtemps, Feli pleurait en quémandant que tu viennes le voir.Germany :
Les filles, les filles... Ludwig en était gêné. Gêné que certaines se montrent si tactiles, gêné que certaines posent de drôles de questions, et gêné de ne pas savoir comment réagir. C'était simplement amusant à voir, du moment que Ludwig ne se prêtait pas à ce jeu idiot, ça t'allait, même si cette envie de meurtre montait en toi. Toujours est-il que tu t'en allais régler le problème à force du regard insistant de Ludwig. En te voyant arriver, les filles s'en prenaient verbalement à toi, jusqu'à ce qu'elle te voit embrasser amoureusement Ludwig, celui-ci répondant rapidement au baiser. Eh oui, Luddy est déjà pris~Japan :
Tu en étais neutre. De toute façon, Kiku ne concevait pas le fait de pouvoir tromper l'être qu'on aime. Alors bon... Pas de soucis à se faire pour ça. Mais il arrivait parfois quelques jeunes demoiselles qui ne cachaient pas le fait qu'elles trouvaient Kiku gentil, adorable, poli... Bref, un pactole de compliments. Kiku remerciait ces demoiselles pour ces compliments avant de leur souhaiter une bonne continuation et de partir. Tout ça dans une politesse extrême.Romano :
Évidemment que certaines draguaient Lovi, c'était un bel italien, il fallait l'avouer hein. Bah, elles changeaient vite d'avis au moment où Lovino en avaient marre qu'elles se montrent trop entreprenantes.- Ah, putain, cassez-vous, j'en ai déjà une et c'est déjà assez chiant comme ça. J'en veux pas d'autre, merde !
Ce que tu pouvais bien l'aimer~
Spain :
Tu rigolais en silence, ces pauvres filles, ça leur apprendra de penser que tous les hommes ne pensent qu'à "ça". Même parler de choses plus ou moins explicites ne faisaient pas comprendre à Antonio que ces demoiselles voulaient lui faire du "bien". Au lieu de ça, Antonio s'amuser à leur parler de tout et de rien, souriant innocement.Prussia :
Monsieur Beilschmidt était pris au piège, trahi par le message qu'il venait de recevoir sur lequel tu avais jeté un coup d'œil, pensant tomber sur son frère. Au lieu de ça, un message bien explicite que tu te doutais d'être une fille lui était parvenu. Autant dire que quand tu avais appelé Gilbert par son nom et prénom, il avait rappliqué en vitesse, paniqué.- C'est quoi, ça.
- Mon téléphone.
- Te fous pas de moi. Le message.
- ... Aaah... Attends, attends quelques secondes et... Oh, plus rapide que ce que je pensais.
Lisant le nouveau message qui venait d'arriver, tu comprenais que Gilbert n'avait rien avoir avec cette histoire, seulement Francis qui avait donné son numéro à une fille, allez savoir pourquoi...
Bonus :
Hong Kong :
Ce qui était sûr, c'est que de ce côté là, tu n'avais aucun soucis à te faire. Si une demoiselle venait à draguer, ou du moins essayer, encore fallait-il que Léon la remarque ou l'entende, trop occupé à être sur son téléphone, sans oublier son casque sur la tête. Le problème était vite réglé comme ça. C'était l'une de ses qualités, si tu pouvais ainsi dire.Luxembourg :
Monsieur était mannequin. Alors monsieur le luxembourgeois se faisait draguer de tous les côtés. Bon, c'était prévisible, il avait même peur que tu le quittes pour ça. Mais... Une fois qu'il remarquait que tu n'en avais que faire il s'amusait à allumer toutes les filles qui venaient à lui. En fait, ce n'était que pour s'assurer que les demoiselles folles de lui continuent d'acheter les magasines parlant de lui. Cet idiot... Tenait de son frère... Tous les moyens étaient bons pour gagner de l'argent...Denmark :
Alors oui, Mathias avait un physique avantageux, nombreuses de tes amies te l'avaient dit d'ailleurs... Ce qui faisaient que Mathias pouvait vite se retrouver en compagnie d'une jeune demoiselle ayant craqué pour ses beaux yeux. Mathias était tout content "je me suis fait une amie" disait-il à chaque fois qu'une fille venait le voir. Son innocence n'avait donc pas de limite.