Chapitre 2

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Bonne lecture à vous

Après avoir choisis un jean noir et un haut fleuri, je pars dans ma chambre m'habillait vite fait. Je met des sandales blanches puis me peigne les cheveux avant de les attachés au milieu.

Maïmouna: Waouh! ça te va trop bien, une bombe.

Moi: Merci, pour le compliment mais je n'ai pas fais grand chose.

Elle: Mais franchement sans te venter tu es belle, avec ton teint assez clair et tes long cheveux, tu as une belle taille et de belle forme que toute jeune femme envie.

Moi: Ça fait plaisir d'entendre ça. En plus on ne m'as jamais dis ce genre de remarque, Merci.

Elle: Peut être qu'ils sont juste jaloux.

Moi: Peut être, oui.

On venait d'arriver au salon.

Moi: Tata, maki dém basi kanam inshallah.(tata, j'y vais à plus tard.)

Elle: D'accord, fait attention à toi. Nouyoul ma sa papa bou bakh(Passe le bonjour à ton père de ma part.)

Moi: J'y manquerai pas.

Elle: Demande au chauffeur de te déposer.

Moi: D'accord.

Maïmouna: Bonne route.

Je leur souris spontanément avant de quitter la pièce, laissant mère et fille se retrouvées. Je parie qu'elles ont ''n'' choses à se raconté.

Après ça, je sors de la maison puis pars à la rencontre du chauffeur.

Moi: Bonjour, vous pouvez me déposer à la clinique***.

Lui: Bonjour, Bien sûr montez.

Je monte dans la voiture puis il la démarre, direction la clinique. J'ai hâte de le voir, hâte de le serré dans mes bras, il me manque terriblement.

Durant le trajet, j'avais un peu honte d'avoir en quelques sorte abandonné mon papa qui avait besoin de moi. J'espère qu'il ne m'en voudra pas pour ça.

J'ai surtout peur de sa réaction quand il saura que sa fille cadette ne vie plus à la maison. Que j'ai fugué par peur ou que j'en avais assez de tout ce qu'elles m'infligé.
Et s'il apprenait comment j'ai battue presque à mort sa fille Myriam, comment il va réagir? Je sais juste que je ne regrette pas de l'avoir fait et que si c'était à refaire j'allais le faire.

C'est la voix du chauffeur qui me fait sortir de mes pensées.

Lui: Mademoiselle, on es arrivé.

Moi: Merci.

Je descends puis entre dans l'hôpital. Je cherche le docteur après l'avoir vue je lui demande si c'est possible de voir mon père. Avant de m'autoriser à le voir, il m'interpelle dans son bureau.

Lui: Prenez place, je vous en prie. Me montrant la chaise.

Je m'asseois et lui fait face, je redoutais ce qu'il allait me dire, je me rongeait les ongles et l'inquiétude se lisait sur mon visage.

_Rachidatou_Où les histoires vivent. Découvrez maintenant