Chapitre 20

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Bonne lecture.
Big kiss.

J'ai changé le nom de Mohamed Bachir Ndoye maintenant c'est Mohamed Bachir Aïdara j'espère que vous allez comprendre facilement.

"Rachidatou''

C'était lui... L'homme que j'ai vu hier à l'hôpital, le fils de la dame que j'ai aidé.

C'est confirmé, j'ai un destin cruel comment ça se fait que l'homme que je déteste et qui m'a humilié soit le fils de celle qui m'a aidé quand j'en avais le plus besoin. Pourquoi lui!? Le voir ici et maintenant me fait mal, c'est l'homme que je hais en ce moment après ma tante Astou bien sûr.

Dès qu'il me voit, il contracte directement sa mâchoire et subitement son sourire se transforme en colère noir. Je le regarde très remontée, il est si froid. Maïmouna nous regardait à tour de rôle et elle était dans l'incompréhension totale quand cet homme dit.

Lui: Qu'est ce qu'elle fait là?! D'où tu la connais!? Demanda-t-il à Maïmouna.

La politesse il l'a rangée dans les tiroirs de sa chambre avant de descendre askp. Un vrai énergumène mal éduqué. Désolée Tata Fatima, mais cet homme est un vrai imbécile. J'allais répondre mais Maïmouna me devance.

Maïmouna: Vous vous connaissez? Rachidatou tu connais mon frère Bachir?...

Malheureusement oui! Je connais cet idiot et je vais l'avoir h45 sur mon dos... Quel désastre.

Bachir: Cette fille impolie et sans manière ouais je la connais. A-t-il dit d'un ton dégoûté.

Sache que tu me dégoûte au plus au point espèce de fou. Comment ose t'il me traiter de fille impolie et sans manière, ki mo deugeur fitt deug deug té xamadi, kanamam bi di mélni rond-point tship!

??: Mohamed Bachir! Est-ce une manière d'accueillir une invitée.

On regarde automatiquement vers l'étage et je vois la dame que j'ai aidé hier, descendre lentement les escaliers.

Donc en résumé la dame que j'ai aidé hier est nul autre que Tante Ramatoulaye, la grande sœur de Tata Fatima et l'homme avec qui je me suis disputé dans les couloirs de l'hôpital c'est son fils Mohamed Bachir Aïdara, le grand frère de Maïmouna vous avez compris maintenant la situation désastreuse dans laquelle je me trouve. J'avais besoin d'air, besoin de respirer un bon coup et assimilé ma situation actuelle sinon je risque de péter un câble d'une minute à l'autre.

Dès que la dame descend, Maïmouna part à sa rencontre puis lui fait un câlin.

Maïmouna: Ay yaay Rama, j'avais si peur. Ne nous refais plus jamais ça. Alhamdoulilah que tu vas bien. A-t-elle dit.

Yaay Rama: Oh ma fille n'ai pas peur, je me sens bien juste une hausse de tension avec mon âge ça arrive tu sais. A-t-elle dit en me regardant.

Elle me regardait intensément puis elle dit.

Yaay Rama: C'est toi... Oui c'est toi...

Elle ne termine pas ces mots car elle venait de me serrer très fort dans ses bras. Ce câlin était doux et c'est ce dont j'avais besoin en ce moment, la colère que j'avais en moi s'est dissipée en un claquement de doigts et c'est grâce à ce doux câlin. Vous auriez dû voir la grosse tête de Bachir quand sa mère m'a serré dans ses bras. Mo xam lidieunti wouma ko!

Yaay Rama: Merci de m'avoir aidé, le docteur m'a tout expliqué mais lorsque je me suis réveillée, tu étais parti et tout ça à cause de lui! Je m'excuse de son comportement.

_Rachidatou_Où les histoires vivent. Découvrez maintenant