Amour funeste

Chapitre 11

- Grimmjow comment cela se passe avec ton informateur ? demanda Ulquiorra qui se stoppa à côté de son bureau. 

- Silence radio depuis deux semaines au moins, sa me fait des vacances tu me diras. répondit le concerné. 

Ulquiorra le regarda encore quelques minutes et retourna en direction de son bureau. 

Le bleuté soupira tout en sachant que de toute façon Hisagi n'avait pas de moyen pour le joindre à part le voir en personne comme le policier ne lui avait encore jamais envoyer de message pour échanger leur numéros. 

- Nel je sors faire un tour. informa-t-il tout en se levant pour prendre un peu l'air. 

Ses derniers temps le gang se faisait plutôt discret, ils en avaient vite conclus que la perte de leur marchandises lors la fusillade où c'était retrouver mêler Urahara avait du porter préjudice au groupe. 

Au détour d'une ruelle il tourna le visage et s'arrêta quelques minutes avant de s'y précipiter en voyant des corps être étendus sur le sol. 

Il reconnut l'un d'eux sans problème son regard se portant sur l'entièreté de son corps à la recherche de blessures. Il constata alors une plaie profonde à l'un des flancs et l'objet en étant la cause encore enfoncer dans la chair. 

- Hisagi !! s'exclama-t-il tout en se dirigeant vers lui voyant que le concerné tourna doucement le visage vers lui encore partiellement conscient. 

- Un....peu tard pour....intervenir. annonça-t-il en rigolant légèrement malgré sa blessure. 

- Ferme là, on va bouger. Je viens d'envoyer un message à des collègues qui vont venir récupérer les autres toi tu viens avec moi. Si tu es capable de rire tu peux marcher. indiqua Grimmjow qui redressa Hisagi sous les râles du blesser avant de vite le traîner avec lui pour l'éloigner de la zone. 

Il se dépêcha de l'amener chez lui et le laissa retomber sur le canapé avant de chercher son kit de secours. 

- Je vais pouvoir te retirer le couteau par contre sa à l'air profond. signala Grimmjow qui se désinfecta les mains avant de revenir auprès du blesser. 

- On s'en fous...je peux pas aller à l'hôpital tu t'en doutes... signala Hisagi. 

Grimmjow se doutait de la réponse et attrapa le manche de l'arme avant de le retirer d'un geste vif et sans prévenir coupant le souffle de Hisagi sur le coup tandis que son sang s'écoula de la blessure. 

Le bleuté désinfecta et après avoir bien examiner la plaie fit quelques points pour refermer le tout avant de terminer ses soins en déposant compresse et pansement par dessus. 

- Maintenant raconte moi se qu'il c'est passé. demanda fermement le policier qui ne laisser aucun répit à Hisagi qui venait d'endurer les soins sans broncher. 

- C'est...une embrouille, tu peux...me donner de l'eau s'il-te-plaît. réclama le noiraud. 

Grimmjow soupira et alla récupérer de l'eau tandis que Hisagi c'était redresser un peu pour se mettre assis malgré la douleur. 

- Sa ne m'explique rien, surtout que tu es rester silencieux deux semaines. Pendant un instant j'ai même crus que finalement tu abandonner l'idée de nous servir d'informateur se qui m'aurait arranger parce que sans mentir tes infos sont à chaque fois inutiles. envoya Grimmjow sans état d'âme. 

- Tu crois quoi, toi t'as pas confiance mais moi aussi franchement nous sommes tous dans le même merdier mais apparemment on doit l'aimer quand même car au final rien ne change. répliqua Hisagi. 

- C'est fini va te trouver un autre flic tu m'es inutile au final sa avancer même mieux quand tu n'étais pas là. rétorqua Grimmjow. 

Hisagi bu une gorgée d'eau sans un regard pour le bleuté. 

- Le boss peut tuer n'importe qui quand il le désire, l'idée même de tuer un membre de son propre groupe ne le dérange pas le moins du monde. Par le passé, sa ne m'aurait pas déplu sa reviens à se suicider un pieds de travers et boom. Mais maintenant même si ma vie n'ai pas meilleur j'ai envie de continuer à voir le jour se lever est-ce que c'est un crime de flipper ? Est-ce que je dois me donner la mort pour quelques infos ? 

Si c'est sa, revois ta notion de justice car moi je ne la vois nulle part. annonça Hisagi avec dédain.