Dévore tout

15.3K 91 0
                                    

Josée dépose le téléphone sur la table, exaspérée par son ancien copain qui refuse de l'aider, et le met sur haut-parleur.

- "Rick est parti à un rendez-vous dans un coin très louche de la ville, ça fait plein de messages que je lui envoie et il ne répond plus! Tout ce que je te demande c'est de venir avec moi pour voir s'il va bien"

- "Je veux bien t'aider Josée", dit-il. "Mais j'ai pas le goût de l'aider lui! Je me suis toujours douté qu'il y avait quelque chose entre vous et...."

- "Ah!!!!" Josée s'enrage et raccroche. "Pourquoi j'ai pensé deux secondes que mon ex m'aiderait?!"

Elle réfléchit, se lève et va à la fenêtre, son téléphone en main. Il fait nuit et la pluie semble reprendre de plus belle. Elle tente une autre fois de me joindre...

Hangar 69, à plusieurs kilomètres de là, mon téléphone vibre sur une tablette, mais je ne l'entend pas. De toute manière on m'a interdit d'y toucher avant la fin de la soirée.

J'ajuste ma caméra et me prépare à recommencer à filmer. Mon coeur me débat encore suite à ce que je viens de voir, mais aussi par anticipation de ce qui s'en vient.

Éclairées par de multiples chandelles, les trois jeunes femmes, en sous-vêtements, regardent leur prof Judith et attendent avec impatience la prochaine leçon. Sarah attache ses longs cheveux blonds à son tour. Mary et Emilie se caressent la main.

Judith est debout et se promène autour de la classe, passant près des chandelles qui éclairent sa peau de satin, ses sous-vêtements laissant peu de place à l'imagination. Ses courbes laissent deviner une femme sportive et en forme. Ses seins semblent naturels, bien qu'elle ait probablement la poitrine la plus généreuse du groupe.

Elle me regarde et dit en souriant : "Action caméra! On reprend!"

Puis elle regarde les filles, et s'approche d'une chandelle.

- "Vous savez", dit-elle. "Il est facile de s'évader à la lueur d'une faible lumière..."

Elle souffle et éteint la première chandelle.

Elle reprend : "C'est plaisant, c'est mystérieux... c'est sensuel..." dit-elle en s'approchant d'une série de petites chandelles, qu'elle souffle et éteint aussi.

J'ajuste les réglages de la caméra qui peine à s'ajuster à la baisse de lumière.

Judith passe près de Sarah et lui caresse la nuque et les épaules. Puis traverse la classe de l'autre côté où sont disposées les dernières chandelles allumées.

"Il faut parfois laisser le mystère dans l'ombre d'où il vient..." dit-elle en éteignant une autre chandelle. "Mettre sa gêne ou même parfois ses complexes de côté, accepter que son corps peut exciter sans chercher à le cacher... le sortir de l'ombre..." puis elle éteint la dernière chandelle, laissant le hangar dans le noir le plus total.

Je baisse la caméra, n'y voyant plus rien. Puis j'essaie de la pointer en direction de la voix de Judith qui reprend : "N'ayez aucune gêne, il faut savoir apprécier le sexe dans la sensualité, comme dans... le cru!"

Prononçant le dernier mot, toutes les lumières du hangar s'allument, nous aveuglant brièvement le temps de laisser nos yeux s'habituer.

Alors que je réajuste la caméra à cette lumière blanche très vive, Judith retourne tranquillement au devant de la classe, retire ses petites culottes et s'assoit sur la table, se penchant légèrement vers l'arrière en ouvrant les cuisses.

Les lumières du hangar l'éclairant fortement, plus aucune ombre ne cache un quelconque détail de son corps. Son sexe bien rasé s'offre à ma caméra et aux filles qui s'en mordent les lèvres et s'avancent.

"C'est à toi de commencer..." dit Judith à la jeune Mary.

Je remarque de minces coussins aménagés au sol autour de la table et à certains endroits du hangar. Mary s'y agenouille devant Judith et avance sa tête entre ses cuisses, déposant un baiser directement sur le pubis de Judith, puis faisant cheminer ses baisers tranquillement vers le bas jusqu'à son vagin. Elle le lèche alors doucement de bas en haut, à trois reprises, avant d'y redéposer un baiser.

Émilie s'assoie sur la table derrière Judith, ses cuisses de chaque côté, puis entreprend de détacher son soutien-gorge. Ce qui est fait rapidement, dévoilant ainsi les seins de sa prof, et des mamelons déjà bien pointus. Elle entreprend d'ailleurs de les lui masser, caressant le bout de ses seins avec ses pouces.

Mary mange maintenant la chatte de Judith à pleine bouche. Je vois bien les lèvres du vagin de Judith qui bougent et s'écrasent sous les mouvements de la bouche et de la langue de Mary. Judith gémit. "hummm oui...... c'est bon Mary... oui comme ça... oui, continue avec ta langue... c'est ça..."

Attendant son tour près de la table, je filme Sarah qui se déshabille, et qui est maintenant complètement nue. Avec la lumière très crue, je vois qu'elle est la plus bronzée du groupe. Ses seins, de taille moyenne, semble bien fermes et ses mamelons bien rosés. Sa chatte porte un léger duvet, bien rasé, et elle a une petite boucle de nombril.

"Ok" dit Judith. "Au tour de Sarah de me manger. N'oubliez pas de bien observer vos corps. Regardez les autres filles. Regardez leur corps en détail à la grande lumière. Prenez plaisir de chaque détail de la peau de vos partenaires..."

Les filles s'observent pendant que Mary cède sa place à Sarah. Celle-ci embrasse et lèche la cuisse de Judith en descendant jusqu'à son vagin déjà bien lubrifié par le mélange de son jus et de la salive de Mary. Sarah y ajoute maintenant sa propre salive et commence à déguster Judith.

Mary, qui avait déjà les seins nus depuis un bon moment, retire sa petite culotte pour se retrouver nue elle aussi. Elle s'assoit sur le coussin près de la jambe de Sarah, et glisse sa main doucement entre les fesses de celle-ci pour aller chercher son vagin par-derrière. Elle entreprend alors de la masturber alors que Sarah continue de manger Judith. Ses gémissements se mêlent à ceux de sa prof.

Émilie, toujours assise derrière Judith, colle ses seins et les frotte dans son dos en la bécotant sensuellement près de l'oreille.

Je fais alors un gros plan de la main de Mary qui masturbe Sarah de derrière, et je remarque de petites gouttes sur le matelas, directement sous le sexe de Sarah. La pluie, qui avait de nouveau rempli le hangar du son des gouttes sur le toit, redevient silencieuse et dans le nouveau silence agrémenté de petits gémissements, j'entends le bruit du jus des sexes de Sarah et Judith, je ne pense plus à rien, je filme et j'ai l'impression d'être en apesanteur tellement la scène est excitante.

Émilie quitte sa position derrière Judith et vient s'assoir près d'elle, ouvrant à son tour les jambes et déposant une de ses cuisses sur la cuisse de Judith. Émilie est la seule encore en sous-vêtements, et on peut voir que sa petite culotte est mouillée d'excitation.

Mary quitte sa position et s'approche d'Émilie. Elle suit les consignes de sa prof et observe le corps d'Émilie, son ventre, ses épaules, sa poitrine, son cou, tout en la caressant partout où elle regarde. Puis les deux jeunes femmes s'embrassent. Se faisant, Mary détache le soutien-gorge d'Émilie et le lui enlève. Elle descend lui embrasser les seins, puis le ventre, et dépose un baiser directement sur sa petite culotte toute lubrifiée. Avec ses doigts, elle déplace le devant de la petite culotte d'Émilie, dévoilant les lèvres de son vagin. Elle les lèche, les goûte, fermant les yeux d'excitation à chaque coup de langue.

Judith, qui se fait manger la chatte par Sarah, tourne la tête et regarde Mary. "Tu es bonne, Mary. Tu fais bien ça. Enlève lui sa culotte maintenant. Dévore tout."

La pluie a fait place au vent à l'extérieur du hangar, couvrant les sons qui pourraient s'en échapper.

À quelques kilomètres de là, Josée est morte d'inquiétude et appelle son amie Élodie. Elle doit se rendre au hangar s'assurer que son ami Rick est sain et sauf mais ne veut pas y aller seule...

- A SUIVRE -

Hangar 69Où les histoires vivent. Découvrez maintenant