Deuxième pause de la soirée. Les femmes ont enfilé un peignoir. Mary, Emilie et Sarah sont assises sur les chaises de la classe et se remettent de cette leçon très spéciale en buvant de l'eau, discutant et riant ensembles tout en se jouant dans les cheveux. Judith s'affaire à essuyer la table mouillée du plaisir qu'elles se sont données, et me parle à voix basse.
- « Les filles ont franchi une étape importante aujourd'hui... elles étaient plutôt timides au départ. Curieuses, mais timides. Elles sont super belles mais avaient toute des complexes. Les lumières ouvertes, c'était un défi. Et aucune hésitation, elles se sont données. »
J'écoute Judith et je ne sais trop quoi penser. Est-ce de la comédie, ou elle prend réellement ça pour une prolongation de ses cours? Ça m'apparait absurde mais elle semble pourtant prendre son rôle au sérieux.
J'ose une question : « Est-ce que... ce sont des couples? Qui est la blonde de qui? »
Judith me regarde, d'un air amusé. « Non, Mary et Sarah sont célibataires, alors qu'Émilie est en couple depuis des années avec un homme. Il ne sait pas qu'elle vient ici. Toutes les trois se disent hétérosexuelles. Moi je suis bisexuelle. Rarement satisfaite par un homme. Presque toujours par une femme. » ajoute-t-elle en me faisant un clin d'oeil.
- « Ok.... » lui dis-je. « C'est pas super évident... »
Judith éclate de rire. « Non je sais. Disons qu'elles sont bi-curieuses... beaucoup, mais vraiment beaucoup de femmes ont le fantasme de baiser avec une autre femme. Je leur donne l'occasion d'explorer et de vivre une aventure qu'elles n'oublieront pas. Elles sont très exhibitionnistes, ça me prenait ça pour participer à mon projet. »
- « Justement », que je lui demande. « C'est quoi le projet? Pourquoi je filme? »
Judith se retourne vers la classe : « Les filles, on va reprendre... », puis me regarde et ajoute : « Pour l'instant, je préfère ne pas trop t'en dire. On verra avec le temps. Je te demande juste de filmer et rester discret... »
Les trois étudiantes se lèvent et s'avancent vers leur prof.
- « Je vais demander à Rick de vous filmer alors que vous retirez votre peignoir. On laisse les lumières du hangar ouvertes... concentrez-vous sur tout ce que vous aimez de votre corps, utilisez votre énergie sexuelle pour que chaque grain de votre peau s'illumine à la caméra. Et surtout, regardez-vous vous déshabiller entre vous, je vous veux bien allumées pour la suite... »
Émilie la première vient se placer devant moi et retire lentement son peignoir.
Judith vient à mes côtés et dépose sa main sur mon épaule, me donnant ses directives. Elle chuchote assez fort pour qu'Émilie et les autres filles autour l'entendent : « Vas-y, filme-la en gros plan, en commençant par ses épaules... c'est ça... descends doucement, lentement vers ses seins. Ne bouge pas quelques secondes, qu'on puisse bien admirer ses mamelons. Je veux bien les voir en gros plan... »
Émilie ferme les yeux et soupire presqu'à chaque parole de sa prof. Elle semble être très excitée de se faire ainsi observer. Pour ma part, je me bats intérieurement avec mes émotions et l'adrénaline pour garder la caméra stable.
- « Continues à descendre », dit Judith. Filme bien son ventre, son nombril...ralenti une fois que tu vois le duvet de son pubis... c'est ça, filme plus lentement, qu'on puisse voir les lèvres de son vagin... mais n'arrête pas, continue de filmer, ses cuisses, puis ses jambes... voilà... suivante! »
Émilie semble sortir d'hypnose, elle recule et laisse sa place à Sarah.
Le vent finit de sécher l'eau de pluie à l'extérieur du hangar. À quelques kilomètres de là, Josée est au volant de sa voiture, stationnée devant la maison de son amie Élodie.
Celle-ci ouvre la porte de la maison et court jusqu'à la voiture, puis ouvre la portière.
- « Merci tellement Élo!!!! Je savais plus quoi faire. »
Élodie regarde son amie. « C'est si inquiétant que ça? Il est parti où? Depuis quand? »
- « Il s'en allait sur un tournage, mais il était bizarre. Y'avait l'air nerveux. Et là j'appelle et il ne répond plus et... » Josée cesse de parler et se met à pleurer. Élodie la regarde, un peu incrédule. « Rick ça... tu pleures pour Rick... ça fait genre quatre ans qu'il veut rien savoir de toi et tu t'en fais à ce point-là! »
Josée semble prend un air fâché. « C'est mon ami, quand-même!! »
Élodie la regarde, en soupirant, d'un air désapprobateur.
Au hangar 69, les quatre femmes sont à nouveau nues.
Judith regarde la plus jeune et lui dit: « Mary, j'aimerais que tu t'étendes sur le dos, sur le coussin que j'ai installé sur la table. Je vais vous montrer ce que j'aimerais que vous fassiez... »
Judith grimpe sur la longue table aux pieds de Mary. Elle remonte un peu au-dessus d'elle, les genoux de chaque côté des jambes de Mary. Elle dépose des baisers sur son ventre près de son nombril. Puis s'allonge jusqu'à frôler les seins de son étudiante avec ses propres seins.
- « Je veux cette fois que vous restiez sur la frontière entre le cru et le sensuel. Entre la lumière vive et la douceur de votre corps. Concentrez-vous à bien sentir la peau de votre partenaire sur la vôtre, à l'effleurer... » dit Judith, en frottant doucement son ventre sur le ventre de Mary. Elle s'amuse ensuite à coller ses mamelons contre les mamelons de Mary, et on peut voir le bout des seins des deux femmes se toucher, s'écraser l'un contre l'autre, durcir au même rythme...les deux femmes s'embrassent maintenant à grand coups de langues, alors que Judith colle bien ses cuisses contre les cuisses de Mary. Je me place à leurs pieds au bout de la table et je filme entre leurs jambes leurs pubis qui se frottent, les deux femmes faisant bouger légèrement leur bassin.
De chaque côté de la table, Sarah et Émilie observent la scène en se masturbant. Je bouge la caméra vers Sarah, qui entre aisément un doigt, puis deux, dans sa chatte bien humide, en gémissant, fermant et ouvrant les yeux pour voir la scène devant elle. Judith a son corps bien plaqué contre celui de Mary, seins contre seins. Elles s'embrassent avec passion. Mary caresse le dos de Judith et lui masse les fesses.
Judith se relève un peu. « Oups », dit-elle en souriant à Mary. « On se laisse emporter un peu, c'était supposé être très sensuel... »
Essoufflée et excitée, Mary la regarde et lui répond simplement: « Continue... embrasse-moi! »
Oubliant momentanément la leçon qu'elle donnait aux fille, Judith colle sa bouche contre celle de Mary, puis lui suce la langue comme un bonbon.
Une fois de plus, les gémissements remplissent le hangar. Il fait très chaud...
- À SUIVRE -
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Hangar 69
FantasyÉrotisme 💋 XXX - Lecteur adulte et averti Que se passe-t-il derrière les portes closes d'un hangar lorsqu'une prof de sexualité au cégep sélectionne plusieurs de ses étudiantes afin de leur faire vivre l'expérience érotique la plus excitante de leu...