20. Encore plus de plaisir

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Joshua

Elle venait de me surprendre et de me faire perdre le contrôle de la situation sans s'en rendre compte. Je détestais perdre le contrôle mais elle réussissait à me faire aimer ça quand il s'agissait d'elle. Personne n'avait jamais réussi cet exploit avant elle.

Ce n'était plus de la baise pour me soulager ou me vider les couilles comme j'en avais pris l'habitude. Elle apportait une dimension de plaisir que je n'avais jamais connu.

Elle m'excitait comme un malade à chacun de ses souffles et de ses gémissements. Je voulais la voir jouir uniquement à cause de moi, son plaisir devenant mon plaisir.

Tu me rends dingue ma belle, tu n'as pas idée de tout ce que j'aimerais te faire.

J'étais encore collé à elle sous cette douche brûlante. Je commençai à la caresser. Ma bouche était toujours plaquée sur la sienne, ses mains étaient encore sur ma bite.

-- Il va falloir que je te lave pour commencer, déclarai-je.

Elle hocha la tête, signe que j'avais son accord. Je me détachai d'elle en même temps que ses doigts quittaient ma queue. Je pris du gel douche dans mes mains avant de la laver.

Je n'oubliai aucun endroit, je me concentrai sur ma tâche en laissant un sillon de mousse sur sa peau. J'essayai de ressentir chacune de ses cicatrices, chaque morceau de sa chair sous mes doigts.

Je la sentis frémir quand je m'attardai sur certaines zones de son corps sûrement plus sensibles. Je l'entendis même respirer plus fort en augmentant la fréquence de mes passages sur ces endroits.

Elle me regarda faire en soufflant, un sourire vissé sur ses lèvres. Elle était excitée, magnifique. Je fus saisi par sa beauté ce qui me fit bander immédiatement.

Je n'avais jamais prêté attention à elle de cette façon. Je l'avais toujours trouvé insignifiante alors qu'elle était bien plus que ça. Sa poitrine et ses courbes généreuses respiraient la sensualité. Ses yeux étaient remplis de défit et son visage transpirait de désir pour moi.

Tu es faite pour moi ma belle, plus aucun connard ne posera les mains sur ton corps. Tu n'existes que pour moi.

Je relevais ses bras pour la laver en dessous, elle lâcha un petit rire cristallin. Ce fut la première fois que je l'entendis rire, je fus surpris autant qu'elle, puisqu'elle s'arrêta aussitôt.

Je lui déposai un baiser le plus plus chastement possible sur ses lèvres tout en lui intimant :

-- Je veux t'entendre encore rire, glapir ou gémir. Tu ne dois jamais t'en empêcher quand tu es avec moi.

Elle se mit de nouveau à rire en essayant d'articuler contre ma bouche.

-- Qui... dit... encore... glapir ?

Je l'embrassai goulûment pour la faire taire en reprenant ma tâche. Ensuite je la rinçai. Il était grand temps de passer aux choses sérieuses.

Je la reculai doucement contre la paroi en relevant son visage pour qu'elle me regarde. Je voulais la voir jouir, il était inenvisageable que j'en perdre une miette.

J'entrepris de caresser, de pincer et de tourmenter son clitoris. Ses lèvres s'entrouvrirent, elle était déjà à bout de souffle.

-- Tu es encore plus belle comme ça, Anabel, grognai-je de ma voix la plus rauque en ne la quittant pas des yeux.

Ma main encore libre prit d'assaut ses seins que je malmenai tout autant que sa petite chatte. Elle se mit à gémir, ses pupilles se dilatèrent légèrement.

Écorchés Tome 1 (Correction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant