39. Prendre ce qui nous revient et faire des compromis

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Joshua

Dans la nuit,

Nous venions à peine de rentrer à la villa. Ce dîner avait été très agréable finalement. J'avais aimé partager ce moment avec elle. Nous avions parlé calmement pour une fois et j'en avais appris un peu plus sur elle.

Elle semblait passionnée par son travail. Même si je n'y connaissais rien en pâtisserie, elle m'avait transporté dans son univers.

Il n'y avait pas eu de défit, d'énervements ou de larmes alors que j'en découvrais un peu plus sur cette femme qui me faisait passer par des dizaines de sensations contradictoires en une fraction de seconde. Au contraire, je l'avais vu sourire, rire et s'extasier.

Tu es tellement lumineuse mon Anabel, mon trésor.

Le vide était de nouveau en moi et autour de moi. Sans que je n'eus besoin de tuer, de torturer ou de baiser quelqu'un. Je voulais plus de moment comme ça avec elle. Elle était tellement douce avec moi.

J'étais prêt à me diriger vers la cuisine pour prendre une bouteille d'eau avant de l'emmener dans ma chambre. Quand elle se retourna vers moi et m'offrit son plus grand sourire. Elle s'approcha en ondulant ses hanches et m'embrassa tel une lionne.

-- Merci, souffla-t-elle sur ma bouche. Merci pour la soirée et l'attention et

-- Embrasse-moi encore ! l'arrêtai-je pressé de m'occuper d'elle.

Je l'embrassai comme un fou. J'enlevai sa robe ainsi que mes habits. Je voulais sentir sa peau contre moi. Je voulais son corps pour moi maintenant.

J'avais une surprise de taille pour elle. Je l'avais prévu plus tôt dans la soirée, afin de pimenter notre sortie. Tout ne s'était pas déroulé comme prévu, mais rien ne nous empêchait de jouer avec maintenant.

-- Monte dans la chambre, ma belle ! ordonnai-je d'une voix rauque.

Elle s'exécuta sans sourciller pour une fois. Je la regardai monter à l'étage en admirant son cul. Je récupérai rapidement le sac que j'avais abandonné dans l'entrée avant de la rejoindre dans ce bar.

Quand j'arrivai dans la chambre, elle était déjà sous la couette que je soulevai pour la trouver complètement nue.

-- Magnifique, soupirai-je d'excitation.

Elle gloussa en rougissant. Je décidai de lui présenter le nouveau jouet que j'avais acheté pour elle. J'espérais qu'elle allait accepter de le porter. Je sortis l'œuf de sa boite et lui présentai en me montrant le plus rassurant possible.

-- J'aimerais tenter de nouvelles choses, ma belle, dis-je doucement en m'approchant d'elle pour l'embrasser.

-- Qu'est-ce que c'est, demanda-t-elle les yeux écarquillés. Et ça va où ?

-- C'est un œuf vibrant, repris-je naturellement en m'installant sur elle pour la surplomber. Il est conçu pour aller à l'intérieur de toi. Il répond à cette télécommande, qui sert à régler l'intensité des vibrations. Il va de soi que je vais contrôler cet œuf.

-- Par pitié, tu ne mets pas ça dans mes fesses, me supplia-t-elle inquiète.

-- Non, ça ne va pas dans tes fesses, ris-je en me rapprochant d'elle. Plutôt ici, dis-je en touchant sa vulve.

-- Et tu vas le mettre comme ça ? s'inquiéta-t-elle encore.

-- Non, je dois préparer ton corps à l'accueillir, murmurai-je en la caressant. Mais si tu acceptes, je peux t'assurer que ça ne te fera pas mal, bien au contraire, tu vas aimer. Cet objet est conçu uniquement pour ton plaisir.

Écorchés Tome 1 (Correction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant