Prise au piège par la mafia Italienne ( Sous l'emprise d'Arturo Romano)

Prologue

Je m'appelle Adriana Belany, j'ai vingt-deux ans et orpheline. J'ai les cheveux noirs qui me tombent au bas du dos, les yeux bleus-gris très rare et je mesure un mètre soixante-dix. Je vis seule dans un appartement de deux étages et dans le deuxième qui est super luxueux, grâce à mon métier, je peux m'acheter presque tout ce que je veux. À part le travail, je n'ai rien de particulier dans ma vie, pas de copain, ni de fiancé seulement des amis ou du moins j'avais un petit-ami mais ça date de l'époque où j'étais au lycée et que c'est lui qui m'a trahi et qui est parti. J'ai beaucoup de secret et mon passé sinistre que je tente de garder mais que je ne peux pas effacer malheureusement.... 

Grâce à mon passé, j'ai forgé mon caractère qui est devenu impassible, direct, loyale, intransigeante et imbu de moi-même mais je sais que derrière cette carapace de pierre ce cache une jeune femme sensible et brisée de l'intérieur. 

Ce qui me passionne c'est le dessin et la boxe de chose contraire en effet. Je dessine depuis l'âge depuis l'âge de cinq et pratique la boxe depuis que j'ai dix-sept ans. J'avais postulé pour créatrice de vêtements dans l'agence Marketing-Ice mais le sort est contre moi et j'ai eu le poste d'assistante du directeur. Quel chance ! depuis je travaille depuis deux ans pour cette agence.

J'ai deux meilleurs amis.
Nicolas que je le surnomme : Nico, il est beau, Australien, brun, yeux d'un marron foncé, Il a vingt-quatre ans et un mesure un mètre quatre-vingt. J'ai fais sa rencontre à la fac il y a trois ans.

Amor : c'est ma sœur de cœur, elle est une combattante, gentille et adorable comme son nom. Elle est styliste, elle a les cheveux roux mais elle a mis du colorants alors ses cheveux sont devenus noirs, yeux marrons clair, je la connais depuis le lycée. On nous surnommait "les inséparables". Elle connaît un peu mon passé comme de la sienne qui n'est pas très glorieuse. Elle est Américano\Espagnol, petite de taille un mètre soixante-cinq. Elle a vingt-trois ans.

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Je me lève en sursaut sur mon lit double à cause de mes cauchemars que je fais chaque jour à la même heure, c'est comme si c'était réel on revit les mêmes actions à chaque instant pensant qu'on peut faire quelques choses ou que c'est déjà trop tard mais on se rend compte que c'est déjà trop tard. Et lorsqu'on quoi que tout est terminé on se réveille tout en sueur et là on voit que c'était juste un cauchemar. Ça se répète chaque jour, même si on sait que l'on n'a toujours vécu, voici ma vie. Ma vie est banale, pathétique.

La vie est faite de cauchemar mais est-ce-qu'on est près à l'endurée ?  Est-ce-qu'on survivra après cette phase de notre vie ?  Pour d'autres oui et pour certains d'autres non. Moi je suis entre les deux, je me balance doucement en marchant droit sur mon chemin des fois il y a des grosses ou des petites secousses mais je tiens bon. Si ce qui me rend plus forte, c'est ce que femmes ou hommes faisons pour rester plus forte. Peut-être qu'ils pensent au lendemain ou encore au passé, qui se soule ou encore qui devient brutaux mais je fais parti des classes de gens qui ne pensent, qui font ce qui a à faire là maintenant, qui ne pensent ni au passé ni au futur mais qui reste toujours au présent.

Il est 4h 30 minutes, je sais que je vais pas pouvoir me rendormir alors je me lève, je vais à la fenêtre pour fumer, je ne suis pas la fille droite, non ,je bois et je fume. J'aimerais temps que mon passé et ma vie change, que je ne suis pas orpheline et vécu, ce que j'ai vécu mais non on ne peut rien changer, ça devrait et c'est arrivé.

J'ai fini de fumer, je rentre, j'ai un appartement confortable, deux chambres, un salon composé de deux petits canapés et un gros canapé pour 6 personnes, la table basse et la télé, la cuisine est à gauche.
Je vais dans le salon, j'allume la télé et je tombe sur mon film préféré "Rouge rubis". Le sommeil me vient facilement cette fois et je commence à fermer les yeux petit à petit jusqu'à ce que je le ferme définitivement et que je tombe dans les bras de Morphée.

PDV ???

Mon téléphone sonna et je répondis rapidement lorsque je vois qui sait. Vaut mieux pas l'énerver.

Appel Téléphonique

-Allô dis-je

-J'espère qu'elle va bien et que vous la surveillez dit-il d'une voix glaciale.

-Oui elle va bien, j'étais entrain de la surveiller et elle fumait répondis-je après quelques secondes plus tard.

-Quoi ! Fumer vous dites ? s'exclama-t-il surpris.

Sûrement, il n'avait pu croire qu'une fille comme elle pourrait faire ce genre de truc.

-Oui affirmais-je

-Bon, ne tournons pas au tour du pot, je vous laisse une semaine et demi pour que vous puissiez la kidnapper passer ce délai je fais ce que je vous ai promis menaça-t-il. Vous prendrez mon jet privé pour venir.

Je déglustis avant de répondre par l'affirmatif.

-N'oubliez surtout pas pourquoi vous faîtes cela.

-Non Monsieur. Bonne soirée.

Je raccrochais en soupirant dépité. J'étais vraiment idiot pensais-je avant de monter et démarrer la voiture pour partir et rentrer chez moi