/Fight for Me/ Wind Breaker

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Dans la vie il existe plusieurs types de personnes.

Celles qui ont de l’argent.

Celles qui n’en ont pas.

Et celles qui feraient tout pour en avoir toujours plus.

Anastasia Koch ou Anah était connue pour être de la première catégorie.

Et elle ne manquait pas de le faire comprendre.

Tout son être transpirait la richesse.

Sa silhouette élancée, grande et délicate dominant les autres du haut de ses talons louboutins.

Son regard horripilant qui te regarde comme on regarde un insecte.

Ses habituelles robes sombres de grandes marques que tu ne connais même pas a moins de gagner plus de 7 000 par mois.

Ce parfum Chanel embaumant les environs dès qu’elle s’y trouve.

Elle ne travaillait pas, ou très peu, elle n’avait pas besoin d'abîmer sa manucure, donner les ordres suffisait.

Elle était au-dessus du commun des mortels et tout le monde le savait.

Avec une éducation privilégiée et un talent pour le business, ses parents n’avaient pas à s'inquiéter pour les branches de leurs sociétés entre ses mains.

Elle était parfaite.

Elle se voyait parfaite.

La dans le miroir, son reflet était l’incarnation du rêve humain.

Sauf que le rêve reste pour l’imagination.

Arrogante, dangereuse, égoïste, insatiable, sadique.

Derrière un beau sourire poli, il y a des dizaines d’autres intentions.

Et celles qu’elle dissimulaient étaient loin d'être belles elles.

Son père ne cessait de la mettre en garde.

“Le jour ou tu te fera prendre tu ne pourras pas repartir de 0.”

Elle savait.

Mais elle aimait le frisson d'excitation à la vue du sang, la violence.

C’est pour ça qu’elle payait tant.

Elle achetait des combats.

Les meilleurs face aux meilleurs.

Elle aimait contrôler ces mêmes combats

Derrière un masque, des lunettes de soleil et une teinture blonde, elle était connue parmi les propriétaires de fight club comme Psyché.
Nommée d'après une déesse grec dont la beauté était à couper le souffle, une déesse qui rendait fou au premier regard.

Quand elle entrait à la nuit tombée, tout le monde savait que la soirée serait sûrement la meilleure de leur vie.

Les propriétaires l'accueillaient comme une reine, elle s'asseyait, l’alcool raffiné était posé directement dans sa main et elle n’avait plus qu'à sélectionner parmi les combattants face à elle qui combattrait pour son bon plaisir.

On racontait que les fights club qui n’avaient pas su la satisfaire avaient fermé leur porte le matin suivant.

Elle était exigeante.

Ce soir-là comme chaque dimanche soir elle a coloré habillement ses cheveux, enfilé une belle robe, neuve évidemment, pris un masque et des lunettes de soleil.

Elle a glissé ses pieds dans ses bottes montantes et a saisi les clés de la belle porche.

Puis elle est sortie par l'entrée de derrière montant dans la voiture elle a fait gronder le moteur et est partie dans la discrétion de la nuit.

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Je publie une de mes histoires finit en brouillon depuis un moment