/Fight for Me/ Wind Breaker

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1 semaine a fallu pour que Psyché rennaise à l’etranger.

Avec la même réputation florissante qu’aux USA.

Et le bouche à oreille ici était efficace parce que tout le monde la regardait déjà comme on la regardait aux Etats Unis.

Sauf que le problème restait le même pour elle.

Elle n'était jamais satisfaite, elle voulait toujours plus.

Plus de sang, plus de force, plus de violence, plus de style.

Riche exigeante.

A la fin de sa 2e semaine en Corée elle avait déjà fini sa liste d’adresse et pas moyen d’aller deux fois dans un endroit qui l’a déjà satisfait.

Donc au dernier elle s’adressa au gérant du club, en anglais, parce que c'était plus drôle de faire croire que psyché ne connaissait pas le coréen.

“Auriez vous un club à me conseiller hors de ceux-ci.” Elle mit sa liste d’adresse sous son nez.

“Euh…et bien je crois qu’il y a tout ceux de la ville” il réfléchit en inspectant la liste.

“Sur?” redemanda-t-elle.

“Et bien…Oh, oui, il y en a un autre qui a de bons avis.” dit-il.

“Lequel?” elle questionna.

“Et bien, c’est un club tenu par des gosses donc je suis septique mais tout ceux qui y sont allé disent que c’est un autre univers.”

“Des gosses?” sa curiosité se réveilla.

“Ouais, le manager de l’endroit doit avoir 19 ans” répondit l’homme.

“Donne-moi l’adresse.” C'était un ordre elle voulait y aller maintenant, vraiment.

“19 ans”, ”dirigeant un fight club”, “un autre univers”, ça lui suffisait pour jubiler.

Elle.Voulait.y.Aller.

Et rien ne la retiendrait.

Deux soirs plus tard, elle a mis sa plus belle robe, enfilé ses talons et avec ses cheveux teint et ses lunettes de soleil elle est montée en voiture.

Le fight club qu’elle cherchait se situait contrairement au autre, loin du centre.

Il lui fallut donc presque une demi-heure avant d’y arriver à cause des bouchons.

Quand elle descendit de sa voiture elle reconnut les regards qui se posaient sur elle.

Des regards criant “C’est elle!”

Elle repoussa ses longs cheveux derrière elle.

Psyché était dans la place.

Elle a passé la porte.

Et oui, c'était un autre monde que les autres clubs.

Déjà les cris étaient si fort que Personne, oui, personne ne l'a vu entrer.

Au centre de la pièce, une cage, le ring était utilisé par deux hommes.

Anciens pro a ce qu’elle vit de marquer sur l'écran géant.

Elle ne bougea pas observant de loin jusqu'à ce que quelqu’un la remarque enfin.

Mais elle ne s’attendait pas à la pluie de billets quand le match se finit.

C'était un jeune homme, debout accroché à la cage, surplombant donc tout le public qui les jetaient en profusion.

Des lunettes teintés en jaune, des percings, des tatouages.