PROMESA INACHEVÉ || EN RÉÉCRITURE / EN PAUSE ||

3. Regard inconnu.

Je vous laisse sur ce chapitre !
A bientôôôôôttt !
Musique proposé : Party Monster - The Weeknd.

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Éros.

Fils de pute.

--- Je vais le tuer et le jeter dans un lac, je grogne face à la douleur du désinfectant sur mon arcade sourcilière.

Alex qui lui, soigne mes blessures, se met à rigoler.

Pour la je ne sais combientième fois. 

--- Te voir en colère mon sucre d'orge m'excite de beaucoup de façon...me dit-il, tout en me lançant un clin d'œil.

Qu'est ce qui m'empêche de lui fracasser la gueule là tout de suite ?

Après mettre fait frapper, j'ai décidé de rentrer chez moi.

Tant pis pour les cours.

L'infirmier de service qui me sert de meilleur ami, était en train de crocheter la serrure quand j'arrivais chez moi. Vous imaginez bien ma réaction quand je l'ai découvert.

Ses plans d'avoir des enfants ? Adieu. C'est même un acte héroïque que je fais pour ses progénitures ! 

Maintenant, me voilà, en train d'insulter les futurs et anciennes générations du con qui m'as fait saigner de l'arcade sourcilière.

Je lui ai brisé des côtes en retour.

À cette pensée, je souris.

Alex sourit légèrement en voyant le mien comme s'il savait à quoi je pensais.

--- Dis-moi mon sucre d'orge, pourquoi il t'a frappé, demande-t-il d'un air innocent sur le visage.

Putain, pas encore !

Je souffle en fermant les yeux, il le sait déjà. Il aime juste me faire répéter et se foutre de ma gueule.

--- Apparemment j'aurai baisé sa copine ! Oui, certes je l'ai fait, mais je ne pouvais pas savoir qu'elle était en couple avec le gringalet, alors on l'a fait. À partir de maintenant, j'arrête les coups d'un soir. 

Alex se plie en deux, tellement que son fou rire le dépasse car il sait d'avance que je ne tiendrai pas longtemps ma nouvelle résolution.

Meilleur ami mon cul ! 

Je rouvre les paupières et le fusille du regard.

--- J'aurai dû être là pour voir la bête se réveiller en toi. Merde pourquoi j'ai arrêté mes études, demande-t-il pour lui-même alors qu'il met un pansement sur mon arcade sourcilière. 

--- À cause de ton organisation, répliquai-je tout de suite. 

Son sourire s'efface légèrement.

--- Ouais, t'a raison ! L'université à mon époque, n'était pas aussi bordélique ! Vous, la nouvelle génération avez gâché tout son charme, dit-il tristement alors que son sourire refait surface.