Quelques mois plus tôt
Cette journée avait tourné au fiasco totale. Le principale avait terminé son discours il y a trois heures déjà et la seule chose que j'avais retenu c'était le renforcement du système de sécurité dans l'enceinte du lycée.
Il aurait pu en parler à la rentrée et pas en plein mois de juin, alors que je suis totalement à court de blé. Les factures s'entassaient sur la table basse du salon et, Nodjiko rentrait de plus en plus tard.
Ça compliquait pas mal de chose, notamment la vitesse à laquelle je devais écouler la cargaison de smiles qu'on m'avait confié la dernière fois.
J'avais assuré que aucun accroc m'empêcherais de me transformer en narcotrafiquante des bacs à sable.
Ce n'était pas mon premier mensonge, mais il sera sans doute celui qui me conduira irrémédiablement vers la morgue.
Je lui avait promis que, tous les lycéens de East Bleu High achèteraient sa came de merde et qu'elle se ferait des couilles en or, en me confiant la lourde responsabilité d'être à l'origine d'une vague d'overdose dans un établissement scolaire qui, frôlait la mort académique de peu.
Putain quelle conne !
Non sans blague ?
Avec la brigade des stups qui fera de plus en plus de décente, je ne pouvais pas me balader avec de la drogue dans les poches.
Ussop s'était fait chopper avec six grammes sur lui, il y a quelques mois de ça. Et je ne sais pas quelles bottes il avait ciré pour ressortir de commissariat blanchit, mais moi je n'avais pas son carnet d'adresse.
Mieux vaut ne pas tenter le diable !
Encore pire, Roronoa Zoro voulait ma mort. De tous les types sur terre susceptible de me plaire, il avait fallut que mon coeur d'artichaut flanche pour un lycéen amouraché d'une autre fille qui, n'hésitait pas à scarifier la jolie gueule des minettes qui approchaient d'un peu trop près son meilleur ami.
J'étais trop belle pour être la version féminine de Scarface, aucune queue sur terre n'en valait la peine.
Pas même celle de Roronoa Zoro.
Faut que je tourne à droite, je pourrai toujours essayé de semer ce gros balourd qui soufflait comme un bœuf dans mon dos.
- Tient salut Nami.
Comment j'allais expliquer à Big Mom qu'elle n'aura pas son fric en temps et en heure ?
Parfois je devrais arrêter de me prendre pour une magouilleuse hors pair et me laisser tripoter le cul pour quelques billets en plus à chaque service chez Arlong Park. S'était moins dangereux, quand on sait qu'à part une main aux fesses je risquerais pas de me faire baiser à l'arrière de l'immeuble entre deux bennes à ordures comme certaines en manque d'argent.
Quel merdier sans nom et comme-ci ça ne suffisait pas, je me faisais courser pas ce type. Kidd à qui j'avais eu la merveilleuse idée de refourger de la merde. Je savais pas qu'il aurait été capable de reconnaître de la pure et de la camelote volé à un dealer en pleine overdose.
- Arrête ....
Mais bien sûr.
Comme-ci j'allais lui obéir.
La came ne devait pas être de si mauvaise qualité, puisqu'il semblait en plein délire. Fallait vraiment être con pour penser un seul instant que j'allais gentiment lui obéir et ,sourire pendant qu'il me fracassait le crâne contre un mur à l'arrière du lycée. J'avais mieux à faire. Vraiment mieux à faire.
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Troublemakers
Fiksi Penggemar- Je crois que tu as pas bien compris le concept ! Je tiens le flingue et toi... tu creuses ! Prenez une bande de lycéens survoltés vivant dans une ville corrompue par le crime et vous obtiendrez la pire des histoires. Entre les ragots qui vont de b...