Chap 10

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J'éteins mon réveil directement et me replace correctement dans mon lit regardant de nouveau le plafond comme depuis un long moment, faut dire que j'ai pas réussi à m'endormir tellement l'histoire d'Iris m'a perturbé.

Vivre ce genre de chose à un si jeune âge, c'est terrible et encore plus énervant de savoir que c'est un prof qui a fait ça, dans quel but exactement, ça c'est l'une des nombreuses question qui m'est revenu pendant la nuit.

Mais celle qui m'interpelle le plus c'est de savoir si ce type à était arrêté ou pas, c'est vrai qu'elle n'en as pas parlée hier, je soupire passant mes mains sur mon visage épuiser de trop réfléchir et je me lève quittant ma chambre pour aller réveiller mon élève.

J'entre sans faire de bruit dans la chambre d'ami et m'avance dans la pièce éclairer par mon téléphone pour que je ne me mange pas un meuble, j'éclair le lit, mais à ma grande surprise elle n'est pas dedans les draps sont encore intacte.

Où est-ce qu'elle est passée ? Je fais balader la lumière de mon portable dans la pièce et je l'a trouve assise sur le rebord de la fenêtre endormi contre la fenêtre, elle a pas peur de prendre froid en tous cas.

Sans faire de bruit je m'avance dans sa direction et m'installe à côté d'elle replaçant une mèche rebelle derrière son oreille, elle est belle quand elle dort, on dirait presque qu'elle est apaisée, peut-être que le fait d'en avoir parler lui a enlever un poids.

Je souris et la secoue doucement pour la réveiller, un grognement s'échappe de ses lèvres pour réponse et ses yeux s'ouvrent doucement avant de s'écarquiller en me voyant elle essaie de se reculer, mais elle oublie qu'elle est sur le rebords de la fenêtre.

Elle part en arrière et dans un réflexe m'attrape par le col pour ne pas tomber, mais manque de bol elle nous emportes tous les deux dans sa chute, un rire m'échappe en même temps que je me redresse et ce dernier s'arrête quand je vois la proximité qui nous sépares.

Mon regards descend instinctivement sur ses lèvres et l'envie d'y gouter me chatouille le ventre, je remonte vers ses yeux et c'est impossible de résister c'est comme ci elle m'implorait de l'embrasser.

Sa main sur mon col se resserre et je grogne posant mon front contre le sien, c'est pas l'envie qui m'en manque, mais si je le fais je vais avoir de sérieux problème, je suis son prof et je devrais même pas penser une seule seconde à poser mes mains sur elle.

Je râle me redressant sur mes genoux ma main partant pincer l'arrête de mon nez tellement je suis pris entre deux sentiments partagés, mon regards se dirige vers la rousse qui me regarde avec incompréhension, son regards brillant avec le peu de luminosité.

"- je vais cherché tes affaires. Soufflais-je en me levant."

Prendre la fuite est le mieux à faire pour éviter les problèmes, je quitte donc la pièce l'a laissant dans l'incompréhension total et je grogne m'insultant mentalement d'être aussi con, comme dit plutôt je prends ses affaires dans le sèche linge et mes joues s'enflamme en voyant ses sous-vêtements.

Bordel, restons calme, c'est pas comme ci t'en avais pas l'habitude avec le linge de Makino, je souffle un bon coup et pars déposer ses vêtements dans la chambre d'ami m'assurant qu'elle n'y soit plus.

Une bonne odeur envahit la maison et en descendant pour aller dans la cuisine je l'a vois à travers l'îlot s'activer à préparer le déjeuner, je me pose sur le bar l'a regardant et surtout l'écoutant fredonner son bassin bougeant de gauche à droite lentement.

C'est un crime d'être aussi sexy, elle se tourne dans ma direction et sursaute presque en m'apercevant, elle me regarde avec froideur posant un bol de riz qui est d'une étrange couleur jaune et une tasse de café.

~ Love is like the wind, we don't know where it comes from ~ Shanks x OcOù les histoires vivent. Découvrez maintenant