Chapitre 6 : Chez Mamounette

126 15 36
                                    

Message de Patron bg:

-Si tu veux jouait à ce jeu de provocation tu à choisi la mauvaise personne. Si tu l'embrasse c'est la guerre.

"Si tu l'embrasse c'est la guerre'

Et bien place à la guerre. Je posa mon téléphone puis regarda Bruna avec un sourire. Je pris ça tête entre mes main et l'embrassa.

Je fis en sorte qu'on puisse nous voir sur le rétroviseur. On arreta notre baisé à bout de souffle. Puis en arriva quelque minute après s'être embrasser.

"La guerre à commencé"

*****************************

Je réveillais Hakimi et sortais de la voiture avec Bruna. Neymar me regarder avec une haine noire. J'avais réussi à le provoquer et j'aimais bien.

Hakimi était enfin sorti de la voiture, il avait toujours un aire très fatigué, en même temps il venait de se réveiller ou avait-il autre chose?

Je me dirigeais vers la maison de ma mère chérie. Ils me suivaient tous. Une fois arrivais à l'entrée de la porte je toquais pour qu'elle ouvre celle si.

Quand t'elle avait ouvert la porte à moitié, j'ai vu la petite bouille de ma mère, ce qui me rendais heureux. Elle m'avais tellement manqué. Je souriais sûrement comme un malade.

Une fois qu'elle avais ouvert la porte entièrement, je la prit directement dans mes bras.

Je la serais tellement fort qu'elle devais suffoquer la pauvre. Je la lâchai enfin pour la regarder dans les yeux.

- Maman, tu m'avais tellement manqué. » Lui dit-je avec un ton plaintif.

- Au mon petit chou, toi aussi tu m'avais manqué, je suis tellement heureuse de te voir tu ne peux pas savoir ! » Me dit-elle. Elle me souriait de toute ses dents.

J'avais complétement oublier toute les personnes autour de nous. Pour moi, on était qu'ensemble.

Mais tout me revenais à la mémoire quand j'entendais les petits "Owwwwww" de mes amis et de mon futur marie.

- Bon mon petit bout de chou, entré je vais pas vous faire attendre à la porte.» Elle se décalait pour nous laissais passer.

J'étais toujours un peu gêné des petits surnom qu'elle me donner. Pourtant ils étaient bien minions.

Pas tous le monde avait la chance d'avoir une mère comme elle. Mais après avoir ressus quelques moqueries quand j'étais enfant, je trouvais toujours ça gênant.

J'entrais dans mon ancien habitat, toute la nostalgie venais me jouer des tours. Je regardais chaque passerelle de cette belle maison et chaque souvenir qui appartenait à celle si me revenais.

Il y avait une bonne odeur de nourriture, qu'est ce qu'elle allait nous cuisiner. Ma mère était bonne cuisinière alors ça me pressais d'êtres le soir.

Ma mère revenais de la cuisine sûrement en train de s'occuper de son plat, pour venir nous parler.

Elle veut sûrement aussi rencontrer mes "amis", je ne les connais pas tous depuis longtemps.

Tout ça grâce au travail  //Neybappé//Où les histoires vivent. Découvrez maintenant