Grâce au Losange

Amoureux ?

La photo en média n'a aucun rapport c'est juste pour vous traumatisez.
J'ai eu la merveilleuse aide de Aglae_29
Toujours là pour aider, gros cœur sur toi 😘 je t'adore. Bref,
Bonne lecture.

Il était à son bureau se demandant pourquoi son raton-laveur n'était pas sur sa tête ou son épaule. C'est alors qu'il entendit le bruit de la clé dans le verrou de la serrure.
"Ah mince..." pensa-t-il.
Un garçon au cheveux noir et son éternelle casquette de détective, qui trônait fièrement sur sa tête, entra dans le bureau de son hôte en, sans faire exprès, claquant la porte.

" Je suis désolé que mon raton-laveur soit venu t'importuner, ainsi que te donner les clés de mon manoir.
- Ne t'en fais pas pour ça j'ai l'habitude comme il vient souvent me voir. Et puis j'ai l'impression que ton raton-laveur vient me voir à chaque fois que je veux te voir. À moins que ce soit toi qui veilles me voir au point de demander à ton raton-laveur de me donner tes clés.
- M-mais j-jamais je ne lui demanderait quelque chose comme ça voyons ! Enfin je ne l'ai pas directement demander..."

Cette dernière phrase se fondait dans un murmure, l'écrivain espérait intérieurement que le détective ne l'avait pas entendu, par chance oui. Il était paniqué, il savait que son interlocuteur avait compris qu'il mentait.

"Pourquoi tu mens."

Cette phrase fit écho dans la tête d'Edgar. C'était fini. Il ne pouvait plus mentir, le noiraud devant lui avait compris, mais qu'avait-il compris ? Avait-il compris tout la vérité ou seulement en parti ? Mais qu'était la vérité ? La vérité était que la plupart des jours où le brun écrivait, et qu'inconsciemment il pensait un peu trop à son "ami", sans s'en rendre compte, il écrivait le prénom du noiraud sur les feuilles blanches devant lui, qui était, de base, réservé à son livre. C'était toujours à ce moment là, qu'il se plaignait qu'il le manquait et qu'il prenait son raton-laveur dans ses bras pour ce plaindre.
"Ô Karl, si tu savais comme j'ai envie qu'il soit avec moi, si seulement...je voudrais juste le voir là, maintenant."
Le prénommé Karl compris ça comme un message indirect, et aussi compris que son maître était fou amoureux du détective. C'est donc comme ça qu'il eu l'idée génial de ce pointé à l'ADA pour donner les fameuses clés au noiraud. Et c'était comme ça depuis bientôt 2 mois. Mais depuis le temps, le noiraud avait tellement l'habitude que le raton-laveur vienne jusqu'à l'agence, qu'il avait acheté, avec l'aide de sa collègue parce que sinon il se serait perdu, une gamelle pour qu'il puisse manger lorsqu'il vient.

- J-je ne mens pas !
- Pourtant tu bégayes quand tu mens.
- M-mais je bégaies tout le temps !
- C'est vrai mais...tu avais arrêté lorsque tu parlais avec moi...

Il remarqua alors une feuille sur laquelle il y avait quelque chose, il s'approcha du bureau de l'écrivain, qui était assis derrière.

- Mmh ? Pourquoi il y a écrit mon prénom sur cette feuille ?
- Quoi ?! Euh n-non c'est pas...
- Il y est écrit plein de fois en plus...

L'écrivain arracha la feuille qui ce trouvé dans les du détective sans pour autant l'abîmé. Il rougit alors violement en comprenant de quelle feuille il s'agissait, et se cacha à l'aide de celle-ci.

- C'est une feuille que j'ai oublié de jeter. Elle n'est pas importante.
- Si elle n'est pas importante je peux la lire.
- Cette feuille n'en vaut vraiment pas la peine.
- J'ai compris ! Tu-

À suivre...

Oui je sais je suis ultra gentille de vous laisser sur cette fin de chapitre très court, mais bon pour me faire pardonner je publie 2 chapitres aujourd'hui, vous allez voir le chapitre d'après il va être assez mignon. J'essaie de ne pas être trop longue dans la publication de mon histoire mais le problème c'est que j'écris plein d'histoires et que j'ai bientôt un concert dans lequel je chante du coup avec les répétitions et tout c'est compliqué mais je ferai au mieux.

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