Recueil OS - HP

Une histoire de weed

**PDV neutre**

Prêts à ouvrir cette porte bien grosse et bien BLANCHE car nous étions dans un NHOPITHARRYP, Vernon soupira :

« Rhoooon.

-Oh mon fils !!!

-NON bril. Arthur dis donc, es-tu sûr de vouloir aller rendre VISITE à LOCKART ?

-Oh weeeed !

-C'est pas Sirius qui fume de la weed ?

-Si(rius) mais c'est pas le sujet. Je veux rendre visite à mon camarade, à ma main d'enfance.

-Mais il ne se rappellera pas de toi, il est amnésique tu te souviens toi au moins ma petite carotte rousse et sucrée comme ta bit-.

-Personne ne se souvient de moi mon petit marteau sur pattes parce que tu es dans mon cu-.

-Arthur Arthur Arthur, tu sais que j'aime quand tu m'appelles comme ça »

Il se rapprocha de son roux de mari et essaya de lui rouler une énormous pellassoui. Cependant, il n'arriva pas à lui rouler la pelle. Parce qu'au même moment, la porte de la chambre d'hopitharryp s'ouvrît d'un grand fracas, fracassant la gueule de ce roux(nald) d'Arthur.

« AHHHHHÏHHHHHIIIII harry. »

Harry, le Potter qui fumait lui aussi de la weed, avait ouvert cette porte avec ses mains et ses doigts de pied.

« Aubazut pardon Arthuthur ! Je t'avais pas vu ! Je suis sous weed parce queue.

-Auba Harry ! Toi aussi tu rendais visite à Lockart ?

-Non non, je venais lui piquer sa weed. Si vous en voulez, il en a une réserve sous son oreiller qu'il a faite avec ses petits doigts et avec tout son cœur sans mettre des doigts avec son cœur...

-Oh ! S'écria Vernon. Raison pour aller le voir alors ! Tu viens ma petite carotte rousse sucrée comme ma bite ? »

Le silence accueillit sa question. Il le chercha du regard, et baissa le regard vers le sol (Def : par terre). Il vit alors son mari(ne Lepen) giser au sol en agonie profonde, hurlant de désespoir. Puis, il haussa les éPaul Oble.

« Tant pis, j'y vais tout seul. Harry, tu préviens les médecins qu'il y a un mort dans le couloir ? Moi je vais piquer de la weed à Lockart. »

Sur ces mots, il laissa les deux sorciers dans le couloir et entra dans l'entre de Lockart.

« WESH L'AMNÉSIQUE ! C'EST PAPI.... LLON ! JE VIENS DE LOIN POUR TA WEED !

-Oh papi yooo ! Je n'ai aucun souvenir de toi. Tu me parais bien jeune pour être mon papi llomavirus... parle moi de toi, de tes envies, de ta vie. De la mienne aussi, puisque je ne sais pas si tu as remarqué mais je ne me souviens plus de toi.

-Lol. »

Vernon alla s'installer à une place bien stratégique. Une chaise (électrique) proche de l'oreiller du lit dans la chambre de l'amnésique ne se souvenant pas de lui, son pauvre petit papi... quer des annetons.

Lockart, lui, luisant tout amnésique qu'il est, était sur son lit. De mort. Il n'avait pas d'amis, mais il avait pleins de K marades.

« Pour commencer mon enfant, je suis ton papi... romane. Je suis le papa de ton papa, qui est le papa de toi. Ce papa de toi, c'est pas toi. Mais par contre c'est Harry-cot-ssais. Il est gay, comme toi. Comme moi, comme nous. Être gay est génétique chez nous (rissons).

-Ohhhhh je me disais bien que j'étais gay papi-er ! Tout à l'heure quand papa est venu me dire coucou (beh) et me piquer de la weed, je l'ai reniflé. Papa. J'ai reniflé papa, pas la weed. Et j'ai eu petit crush pour lui.... Par contre c'est qui ma maman ?