Il presse son torse glabre et chaud contre moi et je frissonne à ce contact. Il m’embrasse dans le cou pendant que ses mains descendaient sur mes cuisses. Il inspire profondément et son souffle me caresse la peau comme un murmure. À travers son pantalon, je sentais son sexe gonflé, qu’il poussait contre moi, comme s’il avait pu me pénétrer.
Il ralentit et se met à me caresser doucement. Il allait et venait sur moi, m’embrassait, me malaxait, respirait contre ma peau.
Quelque chose se modifie dans mon corps, quelque chose que je ne voulais pas. J’avais chaud, de plus en plus chaud. Mon souffle s’accélérait et je respirais son odeur, l’inspirais à l’intérieur de moi. Ses lèvres descendent sur ma poitrine et il m’empoigne les genoux.Rachid (grognant) : Embrasse-moi.
Je l’interromps en posant ma bouche salée sur ses lèvres souples et douces. Il recule légèrement, pris de court par mon audace. Puis je l’entends soupirer et il se rapproche. Je reprends lentement sa respiration avant de pouvoir détendre mes jambes. Rachid m’aide en déposant une pluie de baisers sur mes seins et sur mon ventre. Chaque pression de ses lèvres incendiait un peu plus mon corps. Quand il glisse la main entre mes cuisses, je n'y oppose aucune résistance.
Rachid (murmurant) : Mimy !
Il semblait bouleversé par la confiance que je lui témoignais. Il écarte un peu plus mes cuisses, d'une légère pression de la main.
Rachid (d’une voix rauque) : magnifique!
Je ne comprends pas ce qu'il avait voulu dire que lorsqu'elle sent ses doigts s'immiscer doucement en moi. Plus que toutes les autres, cette caresse aurait dû me choquer. Mais il m’était impossible de me rebeller contre le plaisir que Rachid me procurait.
Moi (gémissant) : Rachid !
Sa main s'aventure de nouveau dans le secret de ma féminité. Je brûlais de le sentir en moi, et Rachid ne le devinait que trop bien. Avec un juron étouffé, il retire lentement ses doigts.
Moi (les larmes aux yeux) : S'il te plaît, caresse- moi encore!
Rachid : Pas de cette façon.
Moi (troublée) : est-ce que... tu... tu n'aimes pas ça?
Il rit puis ses doigts retrouvèrent le chemin de la source de vie, chaude et humide. Une vague de plaisir me submerge brutalement.
Moi : Oh, Rachid...Rachid!
Je répète son nom, encore et encore, tandis que je me pâmais sous ses caresses.
Il s'empare de ma bouche et je m'abandonne à son baiser. Dans un ultime sursaut de plaisir, je lui offre ma jouissance qu'il cueille avec sa langue. Puis il me serra longuement dans ses bras, en silence, pendant que Jessica, encore frissonnante, reprenait lentement souffle.
Je ferme les yeux et se tient parfaitement immobile. Je sens que Rachid introduisait ses doigts en moi, mais il s'y prenait si délicatement que je ne tressaillie même pas.
Et, soudain, je me rends compte que ce n'était pas ses doigts.Moi (murmurant en ouvrant les yeux) : Dieu tout-puissant...
Rachid dépose un baiser sur mes lèvres.
Rachid : Est-ce que je t’ai fait mal ?
Je ferme de nouveau les yeux.
Rachid : Regarde-moi ! Je veux te voir pendant que nous sommes unis.
Je soulève lentement les paupières. Mes prunelles étaient dilatées. Instinctivement, j’arque les reins pour le sentir plus profondément en moi. Rachid crispe ses mains dans ma chevelure
Rachid : Je ne te fais toujours pas mal ?
Je secoue la tête et me cambre, comme si je voulais le capturer complètement en moi.
Rachid (tonnant en ordre) : arrête ! Mimy, arrête!
Moi : Je suis désolée. Je ne peux pas. Je... Rachid! Je t’en prie... encore!
Comme une digue emportée par un courant irrésistible. D'un coup de reins puissant, il me pénètre.
Je pousse un petit cri, douleur et surprise mêlées, mais déjà une nouvelle vague de plaisir, plus intense encore, irradiait tout mon corps. Je noue mes bras autour du cou de Rachid et il commence à déposer une pluie de baisers sur mes joues, sur mes lèvres, sur ses paupières.
*******
Je me réveille, épuisée, lessivée, je ne peux pas croire à ce qu’il est arrivé hier nuit, j’ai couché avec Rachid. En plus j’ai pleuré, pourquoi ai-je pleuré ?
Les servantes frappent la porte avant d’entrer avec des tenues et une grande bassine fumante déposée par deux gardes sans lever les yeux vers moi.
Les servantes (s’inclinant) : notre reine.
Je soupire et décide de me lever alors qu’une vive douleur touche mes deux jambes. J’ai failli tomber sur le sol tellement mon corps me fait mal.
Mais je m’efforce à bouger jusqu’à rentrer dans cette bassine avant de sentir l’odeur du savon de lavage avec les pétales tout autour.
Alors que les deux servantes s’activent à me nettoyer voilà qu’on toque à la porte avant que la vieille femme ne passe la porte sourire aux lèvres. Dès que nos regards se rencontrent, elle s’incline et me fait révérence avant de se diriger vers le lit. J’ai envie de crier pour l’arrêter mais c’est déjà trop tard, elle prend le drap avant de venir l’étaler devant mes yeux.Je détourne la tête, dégoûtée de voir cette tache de sang au milieu du drap. Les servantes, elles, continuent à me rincer le corps avec des éponges moelleux.
La vieille femme : toute jeune fille deviendra femme un jour.
Je n’esquisse même pas une remarque désobligeante pour la chasser d’ici, elle plie le drap avant de se diriger vers la porte avec.
Je veux l’arrêter pour lui demander ce qu’elle va faire avec mais après tout je m’en fou de tout, elle peut même le brûler si elle veut.
Après la toilette, le déjeuner m’est servi et quand je pense à sortir me dégourdir un peu les jambes, l’une des servantes m’annonce que le roi à donner ordre de ne pas me laisser sortir. Ça ne me surprend pas venant d’un homme comme lui après tout, c’est un homme des cavernes.
Je retourne alors au lit et décide de me rendormir jusqu’à épuisement.
Ps : Vous pouvez trouver l'intégralité de l'histoire sur CHRONICKL (l'application).
On se retrouve Samedi pour la prochaine partie ;-*
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MARIÉE DE FORCE AU ROI
RomanceLorsqu'elle apprend qu'elle va se retrouver mariée de force au roi. Myriam prend peur. Elle qui était venue prier pour la vie de son frère, se retrouve désormais dans les bras d'un inconnu. Bouleversée mais résolue à recouvrer sa liberté, Myriam déc...