Chapitre 2

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Ce matin, ce fut un reveil tout a fait naturel, un coup de clés sur le barreaux et des...
Quoi ?
Mais pourquoi n'avais je pas entendu de cris strident et des coups sur les autres cellules ?
Cela n'était pas normal, je jetai un regard à ma montre, il était 6h30, d'habitude nous sommes reveiller a 7h00.
Que ce passait il ?
Je regardai vers la porte où l'on aurait du me jeter ce fameux repas,
mais a la place je vit un homme habiller en uniforme,
ce fut la première fois depuis 10 ans que l'on m'adressa la parole.

L'homme comença:

- Mlle Jessy Jones, veuillez me suivre s'il vous plait.

Jessy Jones ?
Et bien, voilà, d'après cet homme je m'appele donc Jessy.
Je me levai et me dirigeai vers la porte où cet homme m'attrapa un poignet et me tira à travers ces longs couloirs, je me retrouva face à une porte où était inscrit "DIRECTOR".
L'homme toqua, puis entra dans cette pièce, suivit de moi même.

L'homme comença:
- Monsieur, Jessy Jones est là.

Un autre homme,
sans doute le directeur,
était assis dans un grand fauteuil en cuir,
il était tourné et nous ne voyons qu'une main ridée, tenant un cigard entamé.

- Asseyer vous.
Entama le directeur en se retournant.

- Je suis Mr Brack, le directeur de cette prison. Cela fait maintenant 10 ans que vous êtes içi.
Dit il en regardant un dossier.

-Pendant ces dix ans, plusieurs enquêteurs ont cherchés comment vous aviez fait pour tuer ces trois enfants. Rien a été découvert, mais hier, j'ai reçu un appel du comicariat, m'annonçant que vous n'étiez pas coupable. Reprit il.

- Vous.. vous voulez dire que j'ai passé 10 ans içi a me faire torturer, alors que je n'avais rien fait ? Demandais je sous le choc, découvrant ma voix casser qui n'avait pas servi depuis un moment.

- Oui c'est bien ça.
  Vous êtes à partir de maintenant, 6h47, libre. Dit il tout a fait serrain en griffonant sur son papier.

- Mais, où est ce que je vais aller ?
Demandais je.

- Et bien, chez vous voyons !
Dit il comme si c'était évident.

- Mais je ne sais pas où c'est chez moi !
Répondis je.

- Et bien vous vous débrouillerez !
  Fernando ! Metez la dehors.
Dit il sur un ton froid.

Quelques minutes plus tard, je me retrouvai dehors, en plein hiver, sans savoir où aller.
On m'avait fait souffrir pendant toutes ces années, pour rien !
Et pour me mettre a la rue sans aucune explications !
Qu'est ce que j'allai faire...

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