Moby Dick, la Baleine Blanche.

Les Beaux Bateaux comme petits Boulots

Moi et mon ami Queequegue nous nous approchions du port pour trouver un navire qui pourrait nous emmener à la pêche à la baleine. Mais tout d'abord il nous fallait une bourse pour gagner quelques sous pour payer la chambre d'hôtel.

Nous parcourions New Bedford quand un homme plutôt âgé avec un chapeau nous appelait au bout d'une rue.

C'était un homme plutôt petit avec une barbe, très élégant avec un chapeau, l'homme nous appelait et nous demanda: « Hé, vous là-bas, oui vous deux... écoutez j'ai besoin de votre aide surtout de toi *Désigne Queequegue* ... voyez vous il y'a un groupe de jeunes délinquants qui m'ont volé des poissons que j'ai pêcher moi-même ce matin avec la canne à pêche de mon pauvre père. » Une fois qu'il est dit ce qu'il voulait nous dire, je lui redemanda en retour: « Et si on vous aide ... vous nous payer ? »
« Bien sûr! » me répondit-il.
«Très bien... si toi paye nous, nous aider toi (dit Queequegue) nous retrouver jeunes fils de pute et nous niker mère eux ».

Sur ses mots mon ami Queequegue rangea sa pipe des enfers du seigneur des ténèbres, et prit le chemin du bout de la rue que l'homme nous a désigné. Nous arrivâmes dans cette lugubre ruelle où au fond de cette dernière qui ressemblait au derrière du diable, se tenait un groupe de 6 personnes plutôt jeunes, environ de 19 à 25 ans, Queequegue se mit à leur crier dessus dans sa langue dont je n'ai rien compris, un des jeunes s'approcha de lui et lui mit une patate, Queequegue se redressa et lui mit un coup de tête, il le prit et le balança sur deux autres jeunes. Pendant ce temps un autres se tenait derrière lui avec une rame et voulait lui mettre un coup, je saisis la première chose que me tomba sous la main à savoir une caisse à patate et l'éclata sur la tête du jeune homme qui tomba aussi tôt.
Je regardais mon ami Queequegue se battre avec trois jeunes d'un coup, celui qu'il avait balancé était complètement assommé. Voulant me rendre utile j'attrapais les épaules d'un des jeunes et je lui mis un coup de poing de toutes mes forces, mais ce n'était pas suffisant et il me frappa, je lui mit un coup de poing encore et encore, jusqu'à qu'il tombe par terre avec son nez en sang complètement péter. Je levais les yeux en direction de mon compagnon Queequegue qui claqua la tête d'un jeune contre un mur ce qui laissa une grosse tâche rouge sur ce dernier, j'attrapa le seau de poisson du vieux monsieur et nous sommes partis.

Le vieil homme nous remercia et nous bénissait du seigneur. Il nous donna un petit sac de cuivre avec notre paye, il y avait 50 dollars. Moi et mon compagnon Queequegue nous fêtâmes notre victoire en prenant le chemin d'un pub quand je vis un panneau indiquant la direction du port de New Bedford avec bateau qui pourrait nous amener à Nantucket ce qui était notre objectif.

Moi et Queequegue prenons le chemin en direction du port et on vit un homme assis sur une petite table dont le pied n'était qu'un tonneau, il était accompagné d'un grand homme chauve pistolet sur la ceinture qui devait sûrement le protéger.

On s'approcha de l'homme et je lui demanda,
-Excusez-nous, dis-je. C'est ici qu'on peut trouver un bateau pour accoster à Nantucket ?
-Bien sur mon garçon, me répondit-il. Toi et ton ami pourront embarquer à bord !
-Et à quelle heure passe le dernier bateau ? Demandais-je. Parce qu'on doit aller chercher des affaires !
-Ce soir au dernière lueur du soleil !
-Très bien nous serons là.
-Parfait, s'écria-t-il en me tendant une plume d'ancre. Signe juste ici pour réserver ta place.

Je signa, lui donna l'argent et il me donna à son tour deux billets pour le départ de ce soir. Moi et Queequegue nous dirigeons vers l'auberge pour rassembler nos affaires et repartir pour l'île de Nantucket pour trouver les meilleurs navires baleinier.