Moby Dick, la Baleine Blanche.

Le Péquod

J'amenais mon ami Queequegue au port vers le quai des navires baleiniers, voyez vous Nantucket est connu pour ses nombreux bateaux, on peux trouver des bateaux d'exploration, des croisières, des navires marchand et bien sûr des navires baleiniers.

Moi et mon ami Queequegue nous arrivâmes au quai des baleiniers et nous vîmes plein de bateaux, je regardais le premier qui m'est tombé sous les yeux, je regardais son nom, La Rachel, il ne me semblait pas bien pour moi alors nous continuâmes notre promenade. Tout à coup nous vîmes un grand navire, il avait trois mâts, une longueur d'à peu près 45 mètres, de plus il y avait des dents de cachalot partout sur le bateau et même le gouvernail était en ivoire de Baleine. Je baissa les yeux pour voir le nom du navire « Le Pequod ». Je regardais mon ami Queequegue et il me fit un signe de tête positive et il me disait de monter à bord pour nous engager.

Je posa mon pied sur la première marche de la balustrade pour monté à bord, j'avais le cœur qui battait vite, mais je pris mon courage à demain puis je monta à bord du Pequod. Une fois sur le pont principal je vis un homme plongé dans un grand bouquin qui tenait sur deux tonneaux de baril d'huile. Il devait sûrement être le capitaine alors je m'approchais de lui et je lui demanda :

« Bonjour... Monsieur...vous, vous êtes le capitaine de ce bateau ? » demandai-je.
« En supposant que je le sois qu'est-ce que tu lui veux ? » me répondit-il avec une grosse voix grâce et viril.
« Hum excusez... mais moi et mon ami la bas (désigne Queequegue du doigt) on voudrait s'embarquer à bord de ce bateau ».
« A oui, et es tu prêts à jeter un harpon dans les flancs d'une baleine vivante ? »
« Oui si c'est si obligé que ça... » dis-je avec une voix douce et timide.
« Écoute moi bien mon grand tu vas me parler plus fort et plus clairement, car si je n'étais pas Quecker et pacifiste d'origine JE T'AURAIS MIS UNE TORGNOLE TELLEMENT FOTE QUE T'EN AURAIS CHIALER POUR T'APPRENDRE À VIVRE MON GAILLARD ! » sur ces mots je me tues et je parlais avec plus d'élégance mais surtout avec un ton plus fort.
« Oui Monsieur mais voyez vous j'ai une envie dévorante d'aller en mer pour parcourir le monde... »
« Ha d'accord et as tu fais la connaissance du capitaine Achab ? »
« Qui est le capitaine Achab ? »
« Qui est Achab ?! » déclara une voix derrière nous.
« Bonjour Monsieur je m'appelle Ismaël »
« Enchanté jeune homme je suis le capitaine Bildad et lui avec qui tu parlais c'est le capitaine Peleg et c'est à nous qu'appartient ce magnifique bâtiment. »
« Hé du coup moi et mon ami on aimerait s'engager »
« Et tu peux nous présenté ton ami s'il te plaît jeune homme » dit Peleg

Je fis un signe de la main à mon ami Queequegue pour lui dire de monter ce qu'il s'empressa de faire. Une fois arrivé sur le pont le capitaine Peleg s'adressa à lui :
« Ton ami n'a pas l'air très chrétien, les negres comme lui ne connaissent pas les règles de politesse... » mon ami agacé par ses mots, saisis son harpon et

FLAQUE!

Il toucha pile une tache de goudron à la surprise de tout l'équipage à bord.
« Ça par exemple t'es engagé et ton ami aussi » s'exclamât Peleg. Nous signâmes les papiers puis nous regagnions le quai pour maintenant nous trouver un endroit pour séjourner car le Pequod ne partira que dans quelques jours.