Le Ragoût

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La nuit était tombée très tôt ce soir là, les officiers Flask et Stubb nous appelaient, ils avaient déjà manger avec le second Starbuck, après les officiers, le steward, les lieutenants et le second c'était au tour des harponneurs et des matelots de manger.

Gustave le cuisinier d'origine française, nous avait cuisiné des pièces de bœuf salé et grillé à sec, c'était sûrement des morceaux de viandes qu'on stocké à bord dans des tonneaux de sel pour ne pas qu'elles pourrissent. Pour les fruits et légumes ils étaient stocké dans des boîtes avec du sable. On avait aussi embarqué des animaux vivants, des poules, coq, chèvres et canards.

Gustave le cuisinier comme dit précédemment avait cuisinier des pièces de bœuf salé, le voyait remuer les dépouilles avec le bruit du craquement qui signifie qu'elle était prête pour nous nourrir. Il y avait aussi des pommes de terre épluchées par notre ami le Michigan Steelkight qui savait très bien les éplucher au passage.

Je ne savais point ce qu'avait mangé les hauts gradés mais c'était sûrement plus appétissant. Enfin bref Gustave nous servîmes nos morceaux de bœuf, bien évidemment les harponneurs avaient le premier service, Tashtegoo, Dagoo et mon ami Queequegue s'était servi, enfin venait Leonardo le charpentier, Purs le forgeron, et le reste des matelots.
Après m'être servi je m'asseyais à côté de Queequegue, Tashtegoo et Dagoo puis nous mangions joyeusement comme si nous nous étions retrouvés attablés devant le plus somptueux des plats. Le Michigan se joignait aussi à nous avec le mousse Peep qui nous jouait un petit air au tambourin. Les hommes mangeait puis chanter quand tout à coup Stubb descendis pour mettre un terme au bazar.

Il nous parla du capitaine dont il n'a toujours pas eut de nouvelles à tel point que Starbuck avait déclaré que si dans une semaine il ne s'était toujours pas présenté nous enfoncerons les portes de sa cabine. On commençait à reprendre des rumeurs à propos du capitaine Achab, certains disaient qu'il était mort, d'autres qu'il passait ses journées à s'astiquer devant une photo de sa femme, certains parlait même d'un mal qui le rongé, certains parlait même d'un étranger nommé Elijah qui les avait harcelé au port le même qui nous a soufflé une mystérieuse prophétie. Mais aucun d'entre nous n'a vue ce qui c'était passé ce jour là. Je regagnais ma couchette en bois avec une simple couverture juste au dessus de celle de mon ami Queequegue puis je dormais pour rêvasser des plus beaux des océans calme ou plutôt de cauchemardais des plus terrifiantes baleines des océans.

Moby Dick, la Baleine Blanche.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant