La Côte de Bœuf

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Moi et mon ami Queequegue nous arrivâmes devant une petite auberge pour manger pour le déjeuner, nous nous assissions à une table puis je regardais la carte pour voir ce qu'il y avait pour le dîner quand mon ami Queequegue me déclara « Moi veut côte de bœuf... nous maintenant ami, Ismaël et Queequegue ami, on nage sur le même océan, je mange ce que tu manges, ton bateau c'est mon bateau et on tue même baleine. »

Je remerciais mon compagnon de route Queequegue pour ce gentil message et je commandas au serveur de nous servir deux cotes de bœuf quand je vis derrière notre table un homme crier sur un petit noireau. L'homme lui cria dessus en lui disant « À QUOI TU SERS MISÉRABLE NEGERS ... J'AURAIS DU T'ÉCLATER LA TÊTE QUAND TA PUTAIN DE MÈRE NEGRESSE A ACCOUCHÉ DE TA SALE GUEULE » moi et mon ami Queequegue nous nous regardâmes dans les yeux puis je décidais de me lever pour aider le pauvre garçon qui essaye désespérément de ne pas pleurer.
Nous étions à deux pas de leur table quand un homme s'interposa entre nous et la table, l'homme devant nous disait a l'homme de laisser tranquille le noir, je m'approchais pour voir son visage c'était le capitaine Peleg. Un des hommes de main du bourreau se leva et confronta le capitaine Peleg en lui disant :
« Casse toi le vieillard ! »
Le capitaine Peleg commençait a s'énerver et l'homme de main le poussa violemment en lui vida son verre de whisky dessus sur son costume, mon ami Queequegue fonça sur lui en plaquant sur une table près du mur et le martela de coup. Un autre homme voulu frappé mon ami Queequegue alors je saisis une bouteille de rhum et l'éclata sur sa tête, je regardais en direction du capitaine Peleg qui était occupé à claqué la tête d'un homme sur le coin d'une table. Mon ami Queequegue balança l'homme qu'il était en train de défoncer sur une table derrière lui. Le bourreau du petit noireau se leva et traita mon ami Queequegue de « sauvage » je voulais lui casser sa gueule quand un de ses hommes m'attrapa et me frappa. Je lui mis alors mon poing dans son nez et le foutais à terre et en me retournant je vis le capitaine Peleg assommé le bourreau.

Le capitaine Peleg nous remercia de notre aide et nous confia qu'il augmentera notre part du butin au retour. Le jeune garçon d'une voix innocente nous disais « Merci beaucoup, je m'appelle Peep et j'aimerais m'engager à bord d'un navire pour fuir mon maître. »
« Tu sais mon garçon il n'y a pas d'esclaves à bord, tu es embauché en tant que garçon de cabine. » dit le capitaine Peleg.
« Merci capitaine, je sais jouer du tambourin et du violon » répondit Peep.

Peep partis avec le capitaine Peleg, cet homme avais un grand cœur. Moi et mon ami Queequegue nous regagnâmes notre chambre car demain c'était le départ.

Moby Dick, la Baleine Blanche.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant