Méfie-toi du beau paraître Elle ne cherche qu'une chose T'envouter pour mieux te faire admettre.
Une rose à ses épines Vos charmes s'embellissent et ose Similaire à une tentation féline.
Le jour et la nuit son ennemi. Mais le crépuscule rend la paix. Entre le bien du mal, La ligne de l'heureuse défaite et bien trop fine. Comme la lame qui tranchera la vie Du détenteur du mot bonheur.
Rima, ta mère qui t'aime.
... le sens des affaires
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J'étais arrivé à la ville dans les alentour de 8 h du matin. Il ne semblait y avoir personne à part les honnêtes commercent qui commencer a ouvrir leur boutique pour accueillir les clients. Il me fallait d'abord payer une coiffeuse. Je marche alors dans les trottoirs de la ville quand je vois une bijouterie ouverte avec certains bijoux mis en évidence. C'était un réel appel au vol.
Je rentre ainsi discrètement dans la boutique sans faire sonner la clochette, je pris deux des colliers dans ma poche avant de m'en aller de la même des manières. À ce moment-là, je remerciais cette directrice de malheur de m'avoir fait maigrir pour que je puisse passer inaperçue dans ce genre de situation.
Je me détestais d'avoir fait ça, mais je le devais. C'était une question de vie et de mort.
Arriver devant le premier coiffeur, je rentre dans la boutique et toussote pour faire part de ma présence.
Coiffeuse : Bonjour mon garçon, que te faut-il ? commença la belle jeune femme.
Riki : Bonjour, vous acceptez les payements en collier d'or ? Dis-je en faisant pendre l'un des collier.
Je vois les yeux de la coiffeuse scintiller à la vue du pendentif, ce qui me fit légèrement glousser. La seule chose que j'ai obtenue de mon père était son sens des affaires et la lecture dans les yeux de quelqu'un. « Les yeux sont le reflet de l'âme Riki » me répète-t-il souvent.
