Us (Fanfiction Five Hargreeves soft)

Mission et question

Lorsque la sensation s'arrêta, tu ouvris les yeux que tu avais fermé. Tu lâchas la main de Five et et tu regardas autours de toi. De toute évidence vous étiez dehors, des voitures roulaient, des personnes marchaient et le long des rues se trouvaient de nombreuses boutiques. 

Tu t'approchas d'un kioske à journaux. Tu regardas le journal en haut de la pile, la date indiquait que vous étiez arrivés  en 2009. Five te rejoint et regarda le journal à son tour. Automatiquement tu mis ta main dans ta poche. C'est alors que tu sentis un morceau de papier, tu le sortis pensant d'abord que five avait remis la photo de l'homme que vous deviez espionner dans ta poche après l'avoir regardé. Cependant il s'agissait en réalité d'un post-it sur lequel était écrit une adresse. Five regarda par dessus ton épaule. 

Toi : Hôtel Oblivion... 

Five : Il nous restent à trouver une carte pour trouver le lieu.

Tu te retournes vers le monsieur qui tient le kioske.

Toi : Excusez moi. Auriez vous une carte de la ville. 

Vendeur : Oui, ça fera 5 $

Tu fouille dans ta poche et en sort quelques pièce que tu tends au vendeur. Tu prends la carte qu'il te tends et tu rejoins Five. Vous regardez la carte et vous allez vers l'endroit où est indiqué l'hôtel. Mais après avoir marché près d'une heure la nuit commence à tomber et vous avez chaud. Five se tourne vers toi.

Five : Donne ta main.

Toi : Quoi ? Pourquoi ? Tu as peur du noir ?

Five : (il souffle) Rien à voir,  j'ai juste pas envie de passer la nuit à chercher ce fichu hôtel.

Toi : Et tu penses que, en me donnant la main, ça va aller plus vite ?

Five : Oui

Toi : Ah bon ? Et pourquoi ?

Five : (lève  les yeux au ciel) Donne ta main et tu verras. 

Tu lui tends ta main, il l'attrape et tout à coup tu ressens cette sensation désagréables des voyages temporels. Lorsque la sensation s'arrête tu ouvres les yeux, vous êtes tous les deux devant un immeuble. Sur la devanture, on peut voir écrit en grosse lettre de métal dorée "HÔTEL OBLIVION". 

Five : Et voilà nous y sommes !

Toi : Comment tu as fait ça ?

Tu as à peine le temps de poser ta  question qu'il est déjà rentré à l'intérieur. Tu le suis toujours étonnée de ce qu'il vient de se passer. Tu arrives au comptoir et comme à  ton habitude tu t'adresses au gérant de l'hôtel qui se trouve derrière le comptoir :

Toi : Bonjour, est ce que vous avez une réservation au nom de Five et T/P ? 

Il regarde son ordinateur et après quelques instants il vous tends des clés. Five les récupère.

Gérant : J'ai également un colis à votre nom.

Il se lève et revient peu après avec un gros colis qu'il dépose difficilement sur le comptoir. Tu le récupères. 

Gérant : Passez une bonne nuit. 

Toi : Merci

Tu suis Five qui est passé devant puisqu'il a la clé. Vous arrivez devant la porte de votre chambre après avoir traversé de nombreux couloirs et pris un ascenseur. Five ouvre la porte et tu passes après lui. Tu déposes la boîte sur un bureau qui se trouve à côté de la porte et tu l'ouvres. Sans grandes surprises, il est rempli d'armes. Five vient jeté un coup d'œil, il ne semble pas plus étonné que ça, mais au vu de ce qu'il a fait un peu avant cela ne te semble pas étrange. Tu refermes le colis au cas où. 

Tu regardes enfin autour de toi. La chambre contient deux lits, ils se trouvent face au bureau, sur lequel tu as posé le carton remplis d'armes, qui est lui même à droite de la porte d'entrée. Sur le mur latéral gauche se trouve une fenêtre qui donnent vu sur les rues animées de la ville et sur le mur d'en face on observe deux portes. La première donne accès à une salle de bain bien équipée (douche avec baignoire, coiffeuse, lavabo etcetera... ) et la seconde est une ouverture sur les toilettes. C'était rare que les chambres réservées par la commission soit aussi luxueuse. Tu t'y sentais mieux que dans la chambre que tu occupais là bas. 

Five c'était déjà assis sur un lit et avait l'air très occupé par son activité, il avait sortit un carnet sur lequel il écrivait des formules mathématiques incompréhensibles. Tu t'assis sur le lit en face du sien et tu le fixas. Après quelques minutes il leva enfin la tête et te regardas en retour.

Five : Un  problème ?

Toi : Qu'est ce qu'il c'est passé tout à l'heure ?

Five : C'est pas tes affaires.

Toi : Techniquement si, puisque j'étais là donc c'est aussi mes affaires.

Five : Alors oublie.

Tu lui attrapes alors son carnet et amorce un geste pour le déchirer.

Toi : Dernière chance. Que s'est il passé tout à l'heure.

Five : Rend le moi !

Toi : Mais bien sûr. Après que tu m'ais donné la réponse que j'attends.

(A suivre)