"Elle avait juste besoin que quelqu'un la regard de la façon dont elle regardait le monde"
Sud-Est du mur Rose, domaine de la famille Rosenstrauss, 1er Juillet 842, 22h30
Attablée dans la grande salle à manger de notre maison, je sirotais plus que je ne buvais mon verre de vin n'en appréciant pas forcément le goût. La salle avait été élégamment décorée dans les ton blancs tout en restant dans la sobriété ce qui accentuer le charme naturel de la pièce. Des roses blanches avaient été disséminées sur la table, symbole d'innocence et de pureté, choisie personnellement par notre mère. Je restai sceptique face à ce choix de décoration d'un mauvais goût en vue des personne autour de cette table, je n'eu cependant pas le courage de le signaler ne souhaitant pas instaurer un malaise et les foudres de mes parents.
En chef de famille mon père avait prit place en bout de table, toujours impeccable dans son costume gris clair faisant ressortir son teint de rose et ses cheveux blonds platine, en homme d'affaire qu'il était, il lui était impossible de ne pas aborder le travail même avec ses invités, au plus grand désarroi de sa compagne . Notre mère à sa droite avait troquée ses robes fleuris pour une au couleur lilas, sobre et élégante, ses beaux cheveux venait encadrer son visage aux traits raffinés. Ma grande sœur Daphnés à la gauche du chef de famille avait quant à elle misée sur des tons beiges, sa silhouette élancé mise en valeur. Amélia et moi étions les oies blanches de la tabler, et dans mon cas, sans doute la prochaine qu'on mènerait à l'autel.
Faisant face à monsieur Harsen, je feignais être absorbée par la conversation entre mon père et les deux militaires en bout de table pour ne pas croiser le regard de son fils, ce chère Peter, qui tentait depuis un petit moment d'attirer discrètement mon attention, malheureusement pour lui je ne comptais pas lui en accordé ne serait ce qu'une seconde loin de moi l'envie de me montrer impolie mais depuis qu'il m'avait explicitement fait comprendre qu'une femme n'était bonne cas enfanter et obéir docilement à son mari, et que par ailleurs mes hanches avaient les proportions parfaites pour ça m'avait fait vite ravaler mes bonnes intentions.
Partager ma table avec ce type de personne m'horripilé au plus au point, des mentalités plus étroites que le corsé de madame Sparrows, ancienne intendante qui avait la fâcheuse manie de serrer plus que de raison ses corsés, prendre sa retraite avait toutefois semblé la décoincer légèrement.
Amélia gloussa de l'air dépité qu'arborer le jeune Harsen, attirant par ailleurs l'attention de Daphnés qui comprit dans la seconde mon manège.-Comporte toi correctement s'il te plait! Me réprimanda t-elle dans un murmure
Son comportement de bonne fifille m'exécrait au plus au point, je l'aimais comme je la détestais par moment. Enfant nous étions comme les doigts de la main jamais l'une sans l'autre, Cependant notre si belle relation ne dura pas et fut envahit d'un vent froid suite à son changement de comportement radicale lorsqu'elle fit son entrer dans la haute société. Daphnés se fiança très vite au duc Chandler et se marièrent dans le courant de l'année. Ne nous laissant aucun moment pour apaiser les tensions ,et malheureusement pour elle je ne comptais pas rendre les armes la première, j'avais ma fierté.
-Excusez moi duchesse Chandler mais m'instruire me semble plus valorisant que sourire niaisement en présence de compagnie des plus discutables. Attirant le regard du concerné et celui réprobateur de ma mère.
Cependant j'obtenue ce que je voulais en voyant le sourire niais qu'affichait Daphnés depuis le début de cette interminable soirée se fanait pour laisser place à de l'irritation. Est-ce que j'étais une bonne sœur? Sans aucun doute que non. Le diable aura sans doute ma peau mais pas avant celle de Daphnés car nous étions aussi pourrie l'une que l'autre.
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Persona Tome I: Half of my heart
Fanfiction« Je t'ai promis le monde Mais notre éclipse est tout ce que je t'ai donnée » Ce masque que nous portons tous comme une seconde peau, ne risque t-il pas un jour de se fissurer, se fendre jusqu'à tomber en morceaux à nos pieds au su et à la vue de to...