Dragon, marques et expériences [Tartali/Zhongchi]

Chap'3 - Réconfort

Le brun pris une feuille de papier et un crayon, posé sur la table dans l'appartement du roux. Il y écrit le contrat qu'il vont signer, chacun leur tour. Il couche noir sur blanc les clauses de ce contrat préalablement définit. Finalement, il s'approche de Childe. Il le voit commencer à écrire un "C", et lui pris le poignet.

Childe : Qu'est ce que tu fait? Tu ne veut plus de contrat finalement?

Zhongli : Si, mais il ne peut pas reposer sur l'honnêteté si tu signe au nom de Childe. Signe de ton vrai nom, veut tu?

Le rouquin le regarda avec stupéfaction.

Childe : Comment est-ce que tu-

Zhongli : Le contra passer avec la Tsarine m'a permis d'en apprendre sur les Fatuis et leurs Exécuteur. Signora m'a parlé de toi aussi.

Childe : Ah.. Signora, uh.. Qu'est ce qu'elle a dit?

Zhongli : Pas grand chose. Elle s'est contentée de brièvement me raconter une partie de ton passé et a révéler ton nom et celui de ta famille.

Le roux soupira.
Il ne sait rien de mes traumas ou de l'histoire de ma famille hein?

Childe se contenta de regarder les mots sur la feuille, sans les lire. Il ne l'admettrais pas, mais il faisait confiance à Zhongli à partir du moment où ce dernier à écrit le contrat. Il faisait assez confiance pour se dire que tout cela était équitable. Et signa "Ajax". Zhongli pris la feuille, et signa "Morax". Il plia proprement la feuille et la mis dans une de ses poches de pantalon.

Zhongli : Je copierais le contrat et te le donnerais demain.

Childe : Mh-mh.

Les deux n'ont eu le temps que de signer, que Baizhu est enfin arrivé avec le voyageur et Paimon.

Baizhu : Ah.. Childe a l'air d'être en meilleure forme qu'attendu..

Childe : Ah non! Zhongli a précisé qu'il s'occuperais lui même de moi, pourquoi vous l'avez appelé?!

Baizhu et Zhongli se sont regardés, ayant compris la même chose. Baizhu pris la parole, un peu embarrassé

Baizhu : Je.. N'oserais pas..

Zhongli : Non, je crois que vous avez mal compris, sieur Baizhu.. Il ne parlait que de sa santé pas de cela.

Zhongli était calme, bien que légèrement embarrassé. Même sans jamais l'avouer, il dirais que l'idée ne lui déplairait pas. Il continua

Zhongli : Je doute que Childe vous laisse l'examiner et lui prescrire quoi que ce soit. Je m'excuse de vous avoir fait vous déplacez pour rien ; je vous tiendrais au courant si vous le souhaitez

Baizhu : Je comprend.. Venez me voir au Cottage Bubu quand vous aurez le temps pour parler de tout ça.

Le médecin était conscient d'à quel point le roux était têtu et fier. Il savait que, comme le noireau avait si bien dit, il ne le laisserait jamais le soigner. Il comptait sur Zhongli, beaucoup même, pour prendre soin du rouquin

Zhongli : J'y viendrais sans faute.

Baizhu parti, recommandant au voyageur de faire de même -ce qu'il fit-.
Zhongli revint vers Childe et s'assis sur son lit.

Zhongli : Maintenant que nous sommes liés par ce contrat, va-tu finalement me faire confiance?

Childe : Oui. Le temps du rétablissement. Comme stipulé dans le contrat, après, on ne se connaîtra plus. On sera de pur étranger.

Cette pensée fit frémir la déité qui, bien que consciente de cet amour non réciproque, ne voulait pas s'en séparer. Mais tel était le contrat et il était, comme tous les autres qu'il a signé, peu importe sous quel nom, déterminé à le respecter.

Il s'avança un peu plus vers Childe, lui demandant si il allait bien.

Childe : Pourquoi tu me demande ça? Tu vois bien.. Comment je suis.

Zhongli : Oui. Mais je te demande si tu va bien mentalement. Est-ce que ce mois d'isolement a eu des répercussions sur ta santé mentale? Ou est ce qu'il d'autre choses qui pourraient te tracasser?

Childe : Ah.. Tu as inclus une clause concernant l'honnêteté, n'est-ce pas?

Zhongli : Effectivement. J'ai inclus que tu ne doit pas mentir sur ta santé. Tu peut relire le contra si tu ne me crois pas.

Childe : Non, je te crois. Il soupira assez lourdement
Childe : C'est juste un peu compliqué. J'ai assez peur pour ma famille et-

Il fut interrompus par Zhongli, qui réalisa quelque chose.

Zhongli : Teucer est a Liyue.. Je te l'ai dit, non? Tu n'avais pas l'air de me croire..

Le roux commençait à paniquer quand il entendit ces mots. Il regarda dans le vide un moment, pendant que tous les scénario possible passait dans sa tête. Zhongli le secoua un peu, puis Childe posa sa main sur sa bouche et fondit en larme, ommetant complètement Zhongli ; comme si il n'était pas là. Il avait très, trop peur pour son petit frère.
Il n'y a personne pour l'aider, le guider, l'empêcher de se perdre ou- ou- ou si il se blessait? Mais je ne peut pas me montrer comme ça, mes jambes me font encore trop mal pour marcher et je continue de tousser..

Le brun fut très surpris de voir Childe pleurer. Il gardais une façade même dans ces moments, et là, il pleurait, et ce n'était pas que trois larmes. L'archon ne savait pas ce qu'il se passait dans la tête de son ami, donc fit quelque chose qui lui paraissait logique pour le calmer. Il s'assis plus proche sur le lit pour de terminer sur les genoux, entre les jambes écartées et recouverte d'une couverture de Childe. Là, Il pris le rouquin dans ses bras, l'obligeant à lui aussi s'approcher. Le brun s'assit en tailleur puis laissa Childe machinalement s'assoir sur ses cuisses. Il passa une main dans son dos et l'autre sur son crâne, faisait glisser ses doigts entre ses cheveux. Le roux était surpris par cette action, mais était trop faible pour s'en dégager. Et..ça arrangeais bien le brun. Zhongli chuchotait
Zhongli : Calme-toi, puis explique-moi ce à quoi tu pense.