Dragon, marques et expériences [Tartali/Zhongchi]

Chap'7 - Départ

Les deux se réveille. Dans le lit du brun, encore. Plusieurs mois s'était écoulé, et le problème du roux avait effectivement disparu. Il ne comprenais pas. Mais cette fois, quand les rayons du soleil tapent sur ses paupières et qu'il se lèvent, il entend sa sonnette. Le brun se réveille alors, mis un simple peignoir et ouvrit la porte.

Ekatarina : Monsieur Zhongli? Que faites vous ici? Où est le jeune Sire?

Le concerné entra à son tour, ne laissant pas l'occasion au dieu d'en placer une. Habillé d'un peignoir lui aussi, il arrive à côté de son homme.

Childe : Ah, Ekatarina.. Je vous avais dit de ne pas venir le déranger..

Cette femme regarda Childe, d'une façon..
Peu professionnelle.
Le brun retint ses mots et son propre regard, mais il avait tellement envie affirmer que Childe était sien. La réceptionniste donna une lettre au rouquin, puis le salua presque comme si elle flirtait avant de partir.
Le brun ferma la porte, pendant que le roux observait la lettre. Il y figurait le sceau de la Tsarine.

Zhongli : Je ne l'aime pas, cette femme. Elle te regardait avec trop de désir à mon goût.

Childe : Recommence pas. Tu sais bien qu'il n'y a rien entre elle et moi.

Le brun se calma, puis avança vers le roux et lui vola un baiser.

Zhongli : Oui..

La fatui ouvre donc sa lettre, et y voit une petite carte. Il y est écrit de manière manuscrite, certainement de la main de la Tsarine elle-même ;

     «Ma rébellion contre le divin est sur le point d'être exécutée, je voudrait que chacun de mes Exécuteurs soient présent a mes côtés ;
     C'est pour cela qu'un ordre a été lancer : j'ordonne a chacun des Exécuteurs loin de leurs nation de revenir a leur pays natal pour toute la durée de notre acte final.»

Le roux regardait la lettre, désemparé. Il n'avait pas l'air surpris ou choqué, il s'attendais à une telle nouvelle, et ne voulait pas se séparer de son brun maintenant.
J'ai dû l'approcher à cause de ma mission et maintenant je l'aime vraiment. On se croirait dans un film.

Childe : Zhongli Xiansheng, tu te souvient de ce dont je t'ai parlé hier soir?

Zhongli : Mh.. Sur ton possible départ à Snezhnaya?

Le brun compris à sa propre phrase, puis baissa la tête

Zhongli : Ah.. Tu dois partir, c'est ça?

Le roux aquiesça. Il ajouta un "désolé", avant de sentir les bras du dieu autour de son torse, qui se trouvait derrière lui.

Zhongli : Ne t'excuse pas. Tu n'as pas le choix. Je vais en parler avec la directrice, peut-être sera-t-elle assez compréhensive pour me laisser en congé pendant plusieurs semaines.

Childe : Tu m'avais dis que tu voulait rester à Liyue, pour aider ta population en cas de problèmes, non? Pourquoi est-ce que tu viendrait?

Zhongli : Les Liyuéens sont capable de gérer seuls. Depuis l'incident d'Ortell et Osial, je croit capable les Septs Étoiles de prendre soin de cette cité. De plus, je n'ai toujours pas remis mon Gnosis à la Tsarine, donc je sais qu'elle ne me chassera pas.

Le rouquin fut plus choqué par les mots du brun que la lettre.
Comment ça, il avait encore le Gnosis?

L'Archon remarqua l'état du Fatui, puis caressa son visage, toujours de derrière.

Zhongli : Childe? Qu'est ce qui t'a surpris?

Childe : Zhongli Xiansheng, tu te rend compte que je peut me faire tuer là..

À ces mots, le regard du brun devint beaucoup plus sérieux.

Zhongli : Personne ne te touchera.

Childe : Ma mission et celle de Signora, c'était de te prendre ton Gnosis.. Si sa Majesté ne l'a toujours pas, je vais être tenu responsable de ça, elle va me tuer..

Le roux était dans une genre de transe. Il n'avait aucunement peur de la mort ; au contraire, il la provoquait. Il avait tant de dois utilisé les faucilles tranchantes de la morts pour empiler les cadavres au nom de la Tsarine. Et justement. C'est ce déshonneur, cette honte, de se la couler douce avec son amoureux alors qu'il avait une missions capitale. Et il qu'il a
Échoué.

Le brun le secoua un peu pour le réveillé, puis lui dit

Zhongli : Calme toi.. Personne ne te touchera, ils ne te feront rien. Pas tant que je serait là.

Childe : Zhongli Xiansheng.. Ce n'est pas la punition de sa Majesté qui me fait peur, c'est la honte d'avoir profité avec toi alors que j'avais une telle mission à terminé..

Le roux releva la tête d'un coup, regardant son homme.

Childe : Tu me donnerais ton Gnosis..?

Le brun réfléchit longuement à sa phrase. Childe pouvait se protéger de tout, sauf des Fatuis. Il s'estimait donc être un support émotionnel, et aider son aimé à se protéger si il en avait besoin, mais.. Pourrait-t-il tenir tête à tous ces Fatuis, possiblement seul, sans Gnosis?
Il est encore là.. Non, je me suis jurer de ne le faire sortir que quand j'en aurais besoin.

Zhongli : J'en ai besoin pour te protéger si tu venais à devenir un ennemi des Fatuis. Autre que cela, je pensait déjà me séparer de mon identité divine depuis un moment déjà.. J'ai.. Encore un atout si je venais à devoir tuer pour te sauver.

Childe : Tu part loin.. Tu n'aura pas besoin de tuer pour moi, même contre des Fatuis. Si ils sont contre moi, ils m'auront vite.

Zhongli : Il y a une partie de moi que tu ne connais pas. Je t'estime assez digne de confiance pour te confier le secret de son existence, mais je ne préfère pas en parler. Tu es le seul, avec Barbatos et la Tsarine, qui savent à propos de ça.

Childe : Oh.. Je ne te pensait pas si réservé.

Zhongli : C'est un sujet sensible.

Le rouquin se retourna, pour prendre en main la natte du brun, qui tombait sur le devant de son épaule, et passer ses doigts au travers pour jouer.

Childe : J'aimerais en savoir plus.. Tu pense que tu pourra m'en parler dans le futur?

Zhongli : Je ne sais pas. Peut-être, mais tu devra attendre un moment.

À moins qu'il ne se réveille avant