Chapitre 2 : La déclaration

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Plusieurs années s'écoulèrent, Daïki et moi sommes devenus meilleurs amis avec le temps et nous étions toujours dans la même classe à l'école primaire jusqu'au collège où ça continua de perdurais.


D'aussi loin que je me souvienne lui et moi étions même toujours assits à la même table.

Lui était ravis d'être en cours, toujours très social avec les autres élèves et très ami des professeurs, il souriait toujours est on ressentait toute l'énergie qu'il dégageait avec son enthousiasme et sa joie de vivre. Moi à côté, j'étais légèrement moins motivé que lui à l'idée d'étudier et j'avais toujours autant de mal à me rapprocher des autres, mais en même temps j'étais toujours prêt à suivre Daïki dans toutes ces idées farfelues. Cependant au niveau de la taille même au collège je ne le dépassais toujours pas d'un pouce mais je me suis rapidement fais à l'idée que je ne le dépasserais probablement jamais.

Je n'étais pas très proche du groupe d'amis de Daïki.


Un matin pendant un intercours je chercher Daïki, alors je décidai de passait aux toilettes me débarbouiller, une fois la porte refermer je ressentis une sueur froide, comme de fortes ondes me prenant au ventre.


~Il y a quelqu'un ? ~ Effrayé je m'apprêtais à partir quand j'entendis.

~Na-Naoki ? ~

Je reconnu la petite voix de Daïki et je me précipitai pour voir ce qui n'allait pas. Je toquai.

~ Daïki ? Je peux entrer ? ~

Il me répondit oui, alors sans hésiter j'ouvrit violemment la porte et ce que j'y vu me choqua.

A l'instant même où j'entra, je vis Daïki chemise débraillé, tous transpirant avec une respiration saccadée, sa peau été rouge écarlate et il avait l'air d'avoir chaud, très chaud. Il était ainsi assis sur le WC chemise et pantalon ouvert, un chausson lui manquait, ces cheveux se coller à son front dégoulinant de sueur.


Il tenta de prononcé quelques mots alors qu'il était au bord de l'évanouissement, il me dit :

~Je... Je crois que-e je suis u-un o-oméga...~ et tomba dans les pommes.

Il s'écroula dans mes bras, je me mis à crier pour que l'on appelle l'infirmière ou un professeur. Par chance des élèves entrèrent à ce moment-là dans les toilettes. Je me redressai les appelant à l'aide en implorant leur aide.


Tous ensemble on l'emmena à l'infirmerie et là l'infirmière su nous rassurer en nous expliquant que tous étaient normal que c'était juste arrivé un peu plus tôt que la moyenne mais pas problématique non plus. Mais arriver quoi ? Me suis-je dis. Eh bien la déclaration de race, de second genre, oméga, alpha ou béta. La plupart du temps sa arrivé à la fin du collège en dernière année ou au début du lycée, autrement se sont des alphas ou omégas prépubères ou retardés.


Daïki rentra chez lui accompagner de sa grande sœur. Ils passèrent à l'hôpital pour vérifier quand même si tous étaient bien en ordres et qu'il n'y avait aucun souci à se faire.

Alors que j'étais à la fois pressé et stressé de la fin des cours, j'attendais avec impatience la sonnerie qui finis par retentir.


DRIIIIIIIIIING


Une fois la journée terminée je m'empresse d'aller chez Daïki car j'étais mort d'inquiétude. J'arriva devant la porte de chez lui et toqua.

You Love Me, I Protect YouOù les histoires vivent. Découvrez maintenant