Chapitre 12

84 5 10
                                    

Salam al3ykhoum 💕






Moi : euh, je me suis trompé de bus, mais t'inquiète, ça ne se reproduira plus.

Ziad : Hmm.

On n'a pas trop parlé sur la route, quand on est arrivée, il était déjà tard, donc j'ai été prendre ma douche, j'ai un peu mangé puis je suis parti dormir.

J'étais beaucoup pensif par rapport à Selim, je ne savais pas comment définir cette "relation", je ne sais pas comment on se considère, mais je sais qu'on tient l'un à l'autre, c'est super bizarre à dire, mais même si je tiens à cette personne, je ne peux pas me permettre de la garder dans ma vie, et c'est peut-être le moment de le bloquer, de plus lui adresser la parole même si c'est compliqué, c'est pour mon bien, on pourrait croire que je suis égoïste à penser ou prendre ce genre de décision, mais comme je l'ai déjà dit, c'est pour mon bien.

Hessoul le lendemain, je ne suis pas partie en cours, après tout, je n'avais que 2h.

Mon frère et arriver dans ma chambre.

Ziad : je vais faire un tour, tu viens ?

Moi : où vas-tu ?

Ziad : je dois aller chercher un colis.

Moi : quand pars-tu ?

Ziad : maintenant.

Moi : attends cinq minutes, je viens avec toi.

Ziad : dépêche, je t'attends dans la voiture.

Moi : vas-y.

Je me suis préparé, en arrivant dans la voiture, j'ai mis du Djadja Dinaz (c'est parti en concert mdr .)

Ziad : ET ON Y VA C'EST LE BORDEL.

Moi : ÇA DIT QUOI ?

Ziad : DES MEUFS MORTELLES.

Moi : ET ON Y VA C'EST BORDEL.

Ziad : ÇA DIT QUOI ?

Moi : DES MEUFS MORTELLES.

Ziad : ELLE PREND LA TÊTE ELLE VEUT PLUS J'TRAINE DANS LE CARTEL.

Après avoir bien cassé nos voix, on a été chercher son colis.

Ziad : ta faim ?

Moi : c'est vraiment une question ça ? Bien sûr, j'ai faim.

Ziad : mdr, j'avoue, vient manger.

On a été mangé, on a parlé de tout et de rien, il m'a aussi parlé de mon bus, comme quoi, je n'avais pas à me tromper et que c'était la dernière fois, si seulement il savait...

Bref journée banale, mais ce sont les petits moments comme cela qui sont les meilleurs, même si on s'embrouille souvent, je sais que tous les choix qu'il a faits étais pour mon bien et pour cela, je le remercierai toute ma vie.

Le soir, je suis beaucoup pensif, je ne sais pas pourquoi j'ai toujours été comme ça, mais depuis un certain temps, met pensées étais beaucoup relié à Selim, à tout ce qu'il s'est passé, je n'arrive pas à mettre de mot sur cette situation.

lui ou la famille Où les histoires vivent. Découvrez maintenant