'Your heart was glass I dropped it'
Deux cœurs s'entrechoquant, s'attachant pour toujours l'un à l'autre.
( Neybappe )
(Euh je me suis corrigée et j'ai juste envie de supprimer cette fiction tellement que je cringe. J'vous en supplie soyez indulge...
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Non non non non... ! J'avais fait une erreur, une grave erreur, je crois que je n'aurais pas dû l'embrasser. Ça faisait cinq malheureux jours que je n'avais AUCUNE nouvelle de lui.
Je l'avais appelé de nombreuses fois, envoyé plusieurs messages, avait fait un nombre incalculable de sorties avec mon chien en passant devant chez lui, j'avais même demandé à mon père s'il avait des nouvelles de lui où s'il comptait venir manger à la maison un autre soir, mais rien. J'étais perdu.
C'était de ma faute ? II avait peut-être finalement pris sa décision et il avait compris que c'était moi le problème dans cette histoire. Je ne savais pas, je ne savais rien et ça m'inquiétait.
J'avais envie de craquer sévèrement. De m'effondrer sur le sol à chaque pas que je faisais, de me dire que tout était fini. Je savais bien que quelque chose aller arriver, tout était trop calme, trop beau pour être vrai.
Pourquoi, pourquoi fallait-il que ça m'arrive maintenant. J'aurais préféré que le plus gros problème soit juste que je n'arrive plus à me retenir à chaque fois que l'on se voit, que je veuille fondre sur ses lèvres...
Mais au lieu de ça, je n'avais pas de réponse à mes questions. Comme s'il était mort, il faisait l'autruche. J'me sentais livide... Si ça se trouve il avait juste cassé son téléphone ? Je n'en savais rien mais je me sentais prêt à tout faire pour le savoir, pour savoir pourquoi il ne me répondait pas.
La boule au ventre, je descendais, la tête ailleurs. J'avais envie d'aller promener le chien. On était en fin d'après-midi, déjà 17heures et Neymar ne devait pas tarder à avoir fini son taf. Il fallait vraiment que je le vois, j'en avais besoin. Ses mains sur ma taille, ses lèvres sur les miennes, nos souffles court et saccadé par l'envie, toutes ses images et sensations défilait en boucle. Toutes ses sensations me manquaient monstrueusement.
Dans un espoir presque réduit à néant, je pris la laisse de Néron, afin d'aller le promener et d'espérer croiser Ney. Bien évidement, je fus revenue assez vite, toujours sans aucune trace de lui. Je me rongeais de l'intérieur à ne rien savoir.
- Vas chercher le courrier, me demanda "gentiment" mon père.
Comme toutes les fins d'après-midi depuis que mon père avait des problèmes de santé, je me retrouvais à ramener le courrier à mes parents. La relève du jour n'échappais pas à la règle, il y avait deux factures, quelques magazines publicitaires ainsi qu'une petite lettre, mais toujours pas de nouvelle de Neymar. J'aurais pu penser qu'il m'enverrait quelque chose par la poste s'il n'avait plus de téléphone ou quelque chose dans le genre.
Je ramenais donc le courrier en le posant sur la table de la cuisine. J'étais quand même curieux à propos des deux trois magazines de pub. Je les feuilletais rapidement, un peu déçus du contenue.