1. Deux Mondes

820 21 19
                                    

(Hello voici la traduction du premier chapitre écrit par SenLinYu. Il s'agit d'une des fictions Dramione  les plus connus en anglais. Mais impossible de la trouver ailleurs en français alors je me suis dit que j'allais la traduire pour tout ceux qui ne lisent pas en anglais . )
_______________________

Elle n'avait pas eu l'intention de le remarquer.

Lorsque le directeur Dumbledore annonca que Poudlard accueillerait le Tournoi des Trois Sorciers et que des étudiants de Durmstrang et de Beauxbâtons visiteront l'école pour y participer, Hermione ne peut s'empêcher d'être curieuse. Apparemment, l'événement a été en discussion depuis les deux dernières années, remontant jusqu'à la quatrième année d'Hermione, mais les négociations ont échoué en raison de divergences idéologiques entre Dumbledore et le directeur Karkaroff.

Harry et Ron disent tous deux ne pas se soucier du tournoi, principalement par amertume à cause de la restriction d'âge limitant les participants aux élèves de septième année, mais lorsque les portes s'ouvrent en grand et que les délégations d'étudiants entrent, tout le monde se tourne pour les regarder.

Les étudiants de Beauxbâtons entrent d'abord, un tourbillon de bleu aérien. Ils sont aussi français que possible, d'une élégance sans effort dans leurs robes de soie, avançant d'un pas uni derrière leur directrice, une femme imposante aux cheveux courts. Mais leur assurance s'estompe lorsqu'ils commencent à trembler et un certain nombre d'écharpes et d'étoles transfigurées rapidement apparaissent pendant que la directrice Maxime est accueillie par Dumbledore. Quand ils se rassemblent pour se réchauffer en s'entourant de leurs écharpes, ils deviennent soudainement charmants et faciles à comprendre.

Les étudiants de Beauxbâtons commencent à peine à trouver des places pour eux-mêmes lorsque les portes de la Grande Salle s'ouvrent à nouveau et que la délégation de Durmstrang entre.

Ils sont si différents de Poudlard et de Beauxbâtons. Comme s'ils venaient d'un monde complètement différent, aussi éloigné de la Grande-Bretagne magique que le monde moldu l'est pour Hermione. Il y a une froideur chez les étudiants qui entrent, un attrait sombre et une intensité si étrangers et intéressants en contraste avec l'atmosphère fantaisiste et étrange de Poudlard ou même l'élégance de Beauxbâtons.

Hermione soupçonne que c'est parce que Durmstrang est une école d'Arts Sombres.

Elle a déjà lu des informations sur ces écoles, peu étant donné que les écoles de sorcellerie sont extrêmement secrètes concernant leurs emplacements et la magie qu'elles enseignent. Beauxbâtons est quelque part dans le sud de la France, et bien que leur emplacement soit inconnu et certains sujets soient secrets, les ministères français et britannique coordonnent souvent leurs actions.
Durmstrang, d'autre part, fonctionne seul et selon ses propres règles et normes. Hermione n'est même pas sûre dans quel pays se trouve l'école. La seule chose qu'elle sait, c'est qu'ils ne se limitent pas à l'apprentissage de la magie défensive, ils étudient les Arts Sombres, pas seulement en théorie, mais ils les utilisent. Et ce n'est pas seulement de la magie noire nord-européenne, contrairement à Beauxbâtons et Poudlard dont les admissions sont strictement nationales, Durmstrang accepte des étudiants de toute l'Europe.

Des Sorciers sombres comme Grindelwald ont étudié la magie à Durmstrang.

À l'avant de la délégation, presque côte à côte avec le directeur Karkaroff, se trouve un garçon aux cheveux blonds surprenants. Sa peau pâle, ses cheveux encore plus pâles et ses traits acérés sont complémentaires aux yeux gris glacés. Tout en lui se détache nettement du rouge écarlate à garniture de fourrure de son uniforme. Il se démarque. Il est sûr de lui et presque insolent. Contrairement au reste des étudiants de Durmstrang qui regardent la Grande Salle avec son plafond enchanté avec au moins un certain émerveillement, ses yeux balayent la pièce et les étudiants devant lui avec une indifférence presque forcée. Comme s'il refusait d'être impressionné par ce qu'il voyait .

Let the Dark In Où les histoires vivent. Découvrez maintenant