Chapitre 22

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Je reçus un message de Qi Shu au moment où j'étais sorti du café :

[Si tu as décidé, appelles-moi et je viendrai te chercher.]

Il avait déjà obtenu mon numéro de téléphone, il ne serait pas difficile de me localiser par téléphone, alors pourquoi s'en souciait-il ? Son style habituel serait d'envoyer directement quelqu'un pour
m'entraîner.

Je durcis ma prise sur mon téléphone et je me sentis épuisé sans cesse.

Song Zhiqian avait dit que même si je n'étais pas d'accord, Qi Shu avait des tonnes d'autres méthodes, si seulement j'avais été vraiment seul, sinon j'aurais toujours une faiblesse.

Effectivement, le deuxième message fut envoyé peu de temps après:

[Ma patience est limitée. Tu ne voudrais pas me voir faire des démarches auprès de tes proches.]

Des gens proches de moi... Zhou Chen ?

Bien que Zhou Chen ne se soucie pas de lui, Qi Shu était devenu fou, et il était possible qu'il combatte au risque d'une destruction mutuelle, mais aucune des deux parties ne gagnerait quoi que ce soit.

Je ne devais pas laisser Zhou Chen se blesser.

[Je t'attendrai à la maison demain matin.]

J'avais depuis longtemps pensé que la chose entre Qi Shu et moi était terminée depuis longtemps.

Je m'assis hébété près de la baie vitrée alors que je serrais mes jambes, les beaux nuages roses à l'extérieur de la fenêtre se répandaient à I'horizon. Zhou Chen arriva le soir même.

Au début, j'avais pensé que la maison de Song Zhiqian serait ma maison, mais ce n'était pas le cas.

Ensuite, j'avais alors pensé que l'appartement laissé par Xiao Fei était ma maison, mais ce n'était pas le cas. Il devrait y avoir du monde si c'était une maison, mais je n'y retourne que pour manger et dormir occasionnellement, comme un locataire.

Plus tard, j'avais essayé de considérer la maison de Qi Shu comme ma maison, mais cela aussi n'avait été qu'une cage. Qi Shu n'était pas ma famille.

Maintenant que je me sentais enfin chez moi ici, je n'aurais jamais pensé devoir partir à la fin.

"Pourquoi tu n'as pas allumé la lumière ?"

Zhou Chen fit irruption et brisa le fil de mes pensées..''

Il baissa la tête et son expression changea légèrement.

"Qu'est-il arrivé à ta main ?"

Je m'en foutais quand j'étais brûlé par le café cet après-midi-là. Quand j'étais revenu, j'ai trouvé qu'il laissait une marque de brûlure, même si je n'avais pas envie de le traiter.

"L'eau.... Je l'ai accidentellement ébouillanté. C'est bon. "

J'étais agité et j'étais très sensible à son toucher. J'écartai sa main de manière incontrôlable et lui dit:

"Pas besoin."

Il s'arrêta, leva les yeux pour rencontrer les miens et demanda doucement:

"Qu'y a-t-il ?"

Je fis distrait par ses yeux, je baissai les yeux et pris une profonde inspiration, puis je dis:

"J'ai quelque chose que je veux te dire, ne demande pas avant que j'aie fini."

Before my Withering [FR]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant