Chapitre 27

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La voiture quitta lentement la ville et gravit la colline luxuriante.

Le paysage devant la fenêtre était vaguement familier, comme un souvenir séparé par du verre dépoli dans les recoins d'un pays de rêve.

Je tenais le lapin en peluche dans une main et Qi Shu tenait l'autre.

Il toucha ma mâchoire du bout des doigts et dit légèrement, les yeux baissés :

"Tu sais.... qu'est-ce que ça fait d'avoir un frère aîné qui te domine partout depuis que tu es enfant ?"

Pourquoi me demander... je ne sais pas.

Il n'avait pas non plus besoin de réponse. Il poursuivit :

"J'ai essayé de rivaliser avec lui dans tous les domaines, mais je ne peux gagner contre lui dans aucun domaine. Quand j'ai finalement prouvé que je pouvais faire un meilleur travail que lui, il lui a simplement tapoté les fesses, s'est éloigné et m'a dit qu'il ne discuterait pas avec moi."

Puis il se tourna vers moi et retroussa ses
lèvres. « Mais il a été un leader absent (1) pendant des années, puis soudain il prend les choses en main. Devine pourquoi ?"

Je n'arrive pas à deviner... Je ne sais pas de qui il parle.

Qi Shu agit si étrangement aujourd'hui. Il ne m'avait jamais parlé de sa famille auparavant.

Peut-être que mon expression était trop terne, alors il secoua la tête, impuissant:

"Alors on t'a menti... Tu penses que c'est un homme gentil, magnanime et doux.."

Puis il sembla avoir pensé à quelque chose et ravala une demi-phrase.

"Oublie ça, je ne suis pas qualifié pour dire quoi que ce soit sur quelqu'un d'autre."

Le silence nous enferma une fois de plus.

Alors qu'un grand phénix rouge apparaissait devant mes yeux, ma porte de mémoire s'ouvrit lentement.

L'été, les roses, le crépuscule, le violoncelle et... cet homme.

Celui qui m'avait sorti de la nuit et m'avait laissé au crépuscule.

Zhou Chen...

Je ne pouvais pas croire ce qu'il y avait devant moi, alors je saisis Qi Shu.

Il sourit tristement. "C'est probablement la chose la plus regrettable que j'ai jamais faite dans ma vie."

TN: Lâche Qi Shu... C'est mieux...

Un petit bâtiment blanc apparut à mes yeux, et à mesure que je m'approchais lentement, mon cœur battait de plus en plus vite.

Je vis la voiture de Zhou Chen garée devant le portail, le coffre ouvert et le majordome y mettait une valise.

Qui partait ? Zhou Chen ? Où allait-il ?

Je courus dès que la voiture s'était arrêtée. Cela faisait un moment que je n'avais pas autant bougé, alors j'avais trébuché.

Lorsque le majordome me vit de loin, il fut d'abord abasourdi et était sur le point de se retourner pour appeler quelqu'un lorsqu'une grande silhouette familière sortit de derrière la porte...

C'était Zhou Chen.

Il avait la tête baissée, ses pensées inconnues, mais lorsqu'il arriva à la voiture, il leva soudainement les yeux et me vit.

Je ne m'étais pas arrêté. Je courus les dernières marches et j'atterris dans une étreinte chaleureuse attendue.

«X-Xiao Yu ... » Sa voix tremblait alors qu'il me saisissait avec précaution.

Before my Withering [FR]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant