Fils : je n’arrive pas à y croire. Je pense avoir été clair ! Aucune femme ne m'intéresse ! Et je n’ai pas le temps pour ça !
Femme : tu dis ça parce qu’on t'a brisé le cœur ! Y a encore de l'espoir !
Fils : arrête. LAISSE-MOI TRANQUILLE !
PDV Angelina.
Je suis allongée sur un lit.
Mon odeur est étrangement bonne, je me sens propre.
Je sursaute en voyant la chambre où je suis.
Je sors du lit et me précipite vers la porte. Verrouillée.
Je regarde mes vêtements.
C'est quoi ça ?!
Je commence à paniquer en pensant au pire. Ils m'ont kidnappé ! Cette sorcière m'a kidnappé et je ne sais pas où je suis...
J'essaye d'ouvrir les fenêtres mais tout est verrouillé.
Je suis dans une chambre luxueuse mais réellement c'est une prison.
Soudain j'entends un cliquetis le moment où je m'assois sur le lit.
La même femme âgée entre.
Je me lève, furieuse.
Angelina : Je n'ai rien demandé de tout ça ! Laissez-moi partir !
Elle s'approche de moi.
Femme : tu vas rester ici. Tu vas nous obéir. Tu n'es rien qu'une pute obéissante.
Je tremble de frustration.
Je m'assois mais soudain je sens de l'adrénaline.
Je me lève pour courir vers la porte mais le son d'un tir me fige sur place.
Elle avait tiré sur le tapis juste à côté de mon pied.
Angelina : V-vous êtes folle..
Femme : je sais qui tu es. Tu préfères que tu retournes chez ta famille où rester ici ?
Elle se place devant moi en jouant avec une mèche de mes cheveux.
Femme : t'es une belle femme. Tu vas être une épouse magnifique.
Angelina : U-une-
Femme: la ferme..
La froideur de son glock sur mon crâne me laisse silencieuse.
Femme : si tu nous respectes. On te respecte.
Elle sort.
Je pète une crise.
Quand je me calme enfin je commence a penser a une solution.
Il vaut mieux être calme et jouer les jeux pour ensuite fuir.
Je regarde l'horloge.
Il est 9h du matin.
Une femme entre et ne répond à aucune des questions que je la lui pose.
Elle me jette une robe sur le lit.
Je la regarde.
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Angelina : c'est pas court ?
Elle ne me répond pas et part.
Mais avant qu'elle ne ferme la porte.
Femme de chambre : ne pose pas beaucoup de questions.
Elle sourit de façon malicieuse.
Femme de chambre : ici, c'est simple. Ont coupe les langues.
J'avale ma salive en écarquillant les yeux.
Elle part satisfaite de mon expression choquée.
J'enfile la robe en tirant vers le bas , mal à l’aise.
Elle se lève à chaque fois que je fais un pas en avant...
Heureusement ya pas un décolleté profond.
Je regarde dans le miroir.
Mes cheveux étaient ondulés naturellement.
Je les brosse et je les trouve plus propre que d'habitude.
Je mets un peu de parfum pour changer un peu mon humeur.
Mon œil n'est plus aussi gonflé, c'est légèrement bleu mais rien de fou.
Dès que je sors de la pièce des hommes m'entourent.
