À une fleur

15 3 2
                                    


Oh! Fleur de l'été dont les pétales

Se ferment et se froissent à l'affût du mal,

Tu vis dans le désert de ton cœur,

Tout ton être se nourrit de peur

Le pourpre de ton corps s'atténue,

Tu ne vois que ton corps, sa tenue.

Un CycleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant