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Valentina pov :

"Eh bien, eh bien. Qu'avons-nous ici ?"

"Oh mon Dieu, oh mon Dieu, oh mon Dieu." Je pensais.

J'ai ouvert les yeux et j'ai rencontré une paire de chaussures noires. J'ai lentement levé les yeux et j'ai rencontré le visage d'un ange.

Sa mâchoire tonique était pointue et ses belles lèvres essayaient d'empêcher un sourire narquois d'apparaître. Ses cheveux noirs tombaient devant ses yeux marron foncé, presque noirs, qui me regardaient avec amusement. Il devait avoir une vingtaine d'années.

"Eh bien, n'est-ce pas incroyable ?"

"Quoi de neuf, mon frère?" Ai-je dit. "Attends, non, pourquoi ? Qui dit frère à un inconnu ?"

"Qu'est-ce que tu es ?" dit-il de sa voix sombre. Si Disney l'engageait pour doubler un méchant, il serait riche, très riche.

"Une fée." répondis-je.

Il m'a regardé confusément, sa tête penchée sur le côté.

"Qui es-tu?"

"Votre maman."

"Quoi ?"

"Quoi ?"

"Quel est ton nom ?"

"C'est quoi toutes ces questions ? Détends-toi mon frère. Fume de l'herbe. Fais-toi baiser."

J'ai entendu des halètements et c'est là que j'ai réalisé l'état danslequel j'étais. Je me suis levé du sol et j'ai essayé de me cacher avec mes mains les tachées de glace. J'ai regardé autour de moi et j'ai rencontré près de dix hommes vêtus de costumes noirs qui étaient me regardant droit dans les yeux. Je leur ai lentement fait signe mais ils n'arrêtaient pas de me regarder d'un air vide.

Je me suis tourné sur le côté et j'ai rencontré les yeux très, très en colère de mon donneur de sperme.

"Hé papa. Quoi de neuf ? Comment se passe ta petite fête ?" Je lui ai dit.

"Papa ? Eh bien, n'est-ce pas juste incroyable." Dis la même voix sombre d'avant et c'est à ce moment-là que je me suis rappelé qu'il était devant moi. Je l'ai regardé, confuse quant à qui il pourrait être et j'ai regardé ses mains veinées alors qu'elles nettoyaient la poussière inexistante de son costume noir. Oh comme j'aime les mains veinées.

"Qui es-tu ?" Je lui ai demandé.

"Eh bien, dis-le-moi d'abord." Il a dit.

Mon Dieu, comme j'aime sa voix.

"Je m'appelle Valentina Martineli. Je suis la fille de Matteo." Je lui ai dit.

Il m'a regardé sérieusement. Il a regardé mon père puis à nouveau vers moi.

Et il a ri.

Il s'est mis à rire, putain.

"Qu'est-ce qui vous fait rire ?" Je lui ai dit.

"Eh bien, Valentina, si j'étais toi, je ferais attention à ce que je dis à quelqu'un comme moi."

"Que veux-tu dire par quelqu'un comme moi ? Qu'est-ce que tu es ? Un prêtre ?"

Il a ri et a dit "Oh, non tesoro. Tu me connais peut-être. Je m'appelle Vincent. Vincent Hernandez." (Chéri)

"OH. MON. DIEU." pensais-je.

La peur m'a soudainement envahi et j'ai commencé à reculer lentement. Il est juste resté à sa place. J'ai regardé mon père et je l'ai vu perdu dans de profondes pensées.

"Alors, Matteo. Je suppose que tu n'aimerais pas qu'une jolie fille comme elle perde son père. Maintenant, donne-moi mon argent."

"Vincen-" Il commença mais il s'arrêta lorsque monsieur le grand méchant loup s'approcha de lui et posa son arme sur sa tempe.

"C'est la dernière fois que je vous le dis. C'est M. Hernandez."

"Dés- désolé M. Hernandez. Comme je le disais, je n'ai pas d'argent. Y a-t-il autre chose que je pourrais faire pour vous payer ?"

"Eh bien, laisse-moi réfléchir. Non." dit Vincent en appuyant son doigt sur la gâchette.

"Attends attends." Mon père a dit effrayé. Il a vu que Vincent lui faisait un signe de la main pour qu'il continue et il me regarde. Non. Pourquoi mon père me regarde-t-il ? Je n'aime pas ça. Je n'aime pas du tout.

"Prends-la." Dit-il soudain.

"Quoi ?" Dit Monsieur le grand méchant loup.

"QU'EST-CE QUE TU VIENS DE DIRE, PUTAIN ?" Ai-je calmement ajouté. Calmement.

"Je vais te la vendre." Mon père a dit.

Vincent me regarda avec hésitation puis revint vers mon père.

"Combien d'argent te reste-t-il encore ?" A-t-il demandé à mon père.

"Ouais, eh bien. À propos de ça." A dit mon donneur de sperme et a ajouté un petit murmure.

"Je ne t'ai pas entendu. Dis-le plus fort."

"995 000." Mon père a répété et il a laissé tomber sa tête.

"Pourquoi n'avez-vous rassemblé que 5 000 $ en une semaine ?" Dit M. le grand méchant loup avec colère.

"Il l'a probablement consommé pour se droguer, boire de l'alcool et pour les prostituées." Ai-je ajouté.

Vincent m'a regardé à nouveau et il a baissé son arme de la tête de mon père. Il semblait plongé dans ses pensées et j'avais peur de ce qui allait arriver.

"Je vais y réfléchir. Donnez-moi une semaine et pendant que j'y réfléchis, rassemblez le reste de l'argent. Je reviendrai dimanche." Dit-il en se tournant vers ses serviteurs noirs.

Il leur a fait un signe de la tête et ils l'ont tous suivi hors de la maison pendant que je restais à ma place, regardant mon père sous le choc.

Note de l'auteur

LES AMOURSS. BONJOURRRRR

J'espère que ça vous a plu.

Juste pour que vous le sachiez, quand les lettres seront comme ça : abcd, ce sera ce à quoi elle pensera.

C'est ce que je voulais dire.

Merci également beaucoup pour vos aimables commentaires et votre soutien. Je vous aime tous tellement.

Au revoir <3

His guilty pleasure (Trad FR)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant