His guilty pleasure (Trad FR)

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Valentina pov :

"Salut."

J'ai regardée ses yeux sombres alors qu'il me regardait confus.

"Veux-tu entrer ou vas-tu y rester comme si tu étais sur pause?" Il pencha la tête sur le côté et je frissonnais.

"Oh, ouais, désolée." Je me retournai et fermai la porte alors que je marchais plus loin dans le bureau et je me suis assise sur la chaise en face de son bureau.

J'ai posée mes mains sur mes cuisses et j'ai détournée les yeux vers celles-ci.

Je ne peux pas faire ça. Je suis folle.

Pourquoi suis-je ici en premier lieu.

"Valentinaaaaa."

J'ai entendu le son d'un sifflet et une main s'agitait devant mon visage. J'ai laissée échapper un bourdonnement et j'ai regardée son visage.

Il est vraiment très beau.

"La Terre appelle Valentina, tu es là ?" Je hochai la tête et il reposa son dos sur sa chaise. Il jeta la cigarette qu'il avait entre les doigts et posa sa tête sur ses mains.

"Alors, qu'est ce que tu fais ici ?" Je me suis frottée anxieusement les mains sur les cuisses alors que je sentais la sueur se former sur mon front.

"Je voulais te remercier." Il m'a regardé et ses sourcils se sont froncés.

"Merci pour quoi ? Je n'ai rien fait." Mes yeux retrouvèrent son regard et je soupirai.

"Si, tu l'as fait Vincent," j'ai emmêlé mes mains et les ai placées sur son bureau, "Tu t'es littéralement disputé avec ton père à cause de moi. Tu n'avais pas à me défendre."

Il soupira et se leva de sa chaise de bureau. Il traversa son bureau et s'assit sur la chaise en face de moi. Je suis devenu nerveuse et j'ai commencée à jouer avec mes mains. Il sembla le remarquer car il plaça sa paume sur celles-ci afin de les empêcher de trembler.

J'ai senti son contact réchauffer mon corps et je l'ai regardée choquée. Il ne m'a pas regardé alors que ses yeux restaient immobiles sur nos mains qui se touchaient.

"Pourquoi es-tu nerveuse." Il m'a regardé et j'ai senti un rougissement commencer à se former sur mes joues.

"Parce que tu vas me tuer dans mon sommeil." Je lui ai souri et il a soupiré.

"Comment t’es-tu mise cette idée en tête ?" J'ai laissée échapper un rire et j'ai détournée mon regard vers nos mains. J'ai retirée mes mains des siennes et les ai placées sur mes côtes.

"Je pense que la cause en est le fait que tu me menaces littéralement tout le temps et aussi que tu es littéralement un chef de la mafia. Je veux dire, à quel point cela n’est pas effrayant."

Ma jambe a commencée à rebondir de haut en bas et il a posé sa main sur ma cuisse tremblante.

"Ne sois pas nerveuse. Je ne te tuerai pas, si tu ne me donnes pas de raison, bien sûr." J'ai regardée ses yeux sombres et il m'a regardé avec son regard régulier, immobile et froid.