KILLER LOVE

CHAPITRE 6 : Sous surveillence

Ariela

Je me leva brusquement de la balançoire, me reculant un maximum du souffle que j'ai sentis.

Me donnant des coup à cet endroit je tourne le regard vers ma balançoire, et mon cœur accéléra en voyant la personne qui se trouvais devant moi.

Lui, celui qui se trouvais au dessus du gars, celui qui le frappait sans relâche, Kane.

Je français les sourcils alors que ses yeux bleu océan me fixais.

Quelle psychopathe !

Mes poils s'herissèrent, comme hier à l'université ou chez Ena. La chair de poule parsèment la totalité de mon corps, et la peur me bouffe les entrailles.

Je le sens pas, pas du tout même.

Son regard est froid, aussi froid que le bleu de ses yeux, et comme si Ena avait compris qu'il n'était pas un simple passant qui voudrais demander son chemin, elle me rejoint à quelques mètres de lui.

- Alors petite fouine on sait pas garder un secret ? Débute t-il.

Mon cœur accélère alors que sa voix rauque se répercute sur mon corps. Sa voix est glaçante, et on y perçoit rapidement la menace.

Il va nous tuer, si on ne bouge pas tout de suite, il nous tuera.

Je recule d'un pas, voyant un deuxième homme approcher.

- Qu'est-ce qu'il se passe ? M'interroge Ena.

- Je sais pas. Répondis-je aussi doucement qu'elle. Mais je ne le sens pas.

- Tu m'étonne.

Je ris presque à sa remarque, presque, parce qu'en voyant les deux homme se rapprocher, l'envie de rire partit bien vite.

- C'est dommage, ta sœur croyais tellement en toi, mais au final, j'avais raison de te surveillé.

Mes sourcils se froncèrent au mot surveillé.

- C'était toi derrière moi dans la chambre. Dis-je alors sûre que je n'avais rien imaginé.

Il hocha les épaules et mes mains se mirent à trembler. Qu'est-ce qu'il se serait passer si Diana ne m'avait pas envoyer de message ?

Plein de question se mirent à tournée dans mon esprit, si bien que je n'avais pas remarquer Kane s'avancer.

- En générale je ne tue pas les gens sans être payé, mais je peut faire une petite exception. Non ?

Il se tourna vers son ami, ce qui aurait pu me laisser le temps de courir loin si je n'étais pas paralysée sur place.

- Après tout une personne qui mens comme elle respire ne manquera à personne.

Je me concentre sur ses derniers mots, et je me rends compte qu'il a raison. Je ne manquerai à personne.

Je sais que ce n'était pas le plus marquant de sa tirade, mais c'est la chose sur laquelle je me concentrais le plus.

Je sentis une main chaude contre la mienne, je tourna la tête vers ma meilleure amie, et mon cœur se rechauffa.

- Elle me manquera, alors ferme ta sale bouche de petit con. Dit-elle.