CHAPITRE 20 : Vérité douloureuse

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Ariela

- MAIS TU M'AS MENTIS ! M'écriais-je d'une voix brisée.

- Je t'ai demander de me donner de l'argent, tu as conclue de toi même que c'était pour les dettes.

Ma bouche s'ouvre en grand o alors que je m'arrache presque les cheveux.

Je rêve ce n'est pas possible.

- Mais tu viens de me dire que l'argent que tu avais pris était pour les dettes !! Continuais-je de crier.

Je n'en peux plus, je suis entrain de pété un câble, ça va pas le faire.

Respire Ariela, respire !

Mon regard vagabonde sur la silhouette de ma mère, la regardant de haut en bas.

Je n'en reviens pas.

- Écoute mi amor, tout est du passé, pourquoi est-ce que tu reviens encore sur cette histoire. 

Parce que j'y ai laissé ma santé mental maman.

- J'ai travaillé d'arrache pied pour toi, pour papa et toi, maman, pourquoi est-ce que tu ne t'excuse tout simplement pas pour ça. Demandais-je d'une voix si douce que moi même je me fais pitié.

Faible.

Faible.

Faible.

- Arrête moi ça Ariela, un peu de tenue s'il te plait.

Je tourne le dos à ma mère prenant le temps de masqué mes émotions, je suis tellement frustré, j'ai envie de crier, de lui dire que c'est injuste, que je ne méritais pas de vivre ça, qu'elle aurait pu prendre plus soin de moi.

Mais je me contente de me taire, parce que je sais, je sais que rien, absolument rien de bien ne sortira de cette discussion.

- Ariela, écoute, tu sais qu'au début nous voulions qu'une seule fille. Commence ma mère.

Je renifle me rappelant de l'histoire que ma mère me raconte à chaque fois.

Je n'étais pas désiré. C'est l'histoire de ma vie !

- Pourtant je ne regrette absolument pas de t'avoir eu, je suis si fière de toi Ariela. Tu nous a aider comme tu pouvais, et on te remercie ton père et moi pour tout ce que tu as fais. Mais comprends bien Ariela que cet argent nous ne te l'aurions pas pris si nous en avions pas besoin.

Je sèche rapidement les larmes de mon visage, et je sens mon cœur battre à la chamade.

" Je ne regrette absolument pas de t'avoir eu "

" Je ne regrette absolument pas de t'avoir eu "

" Je ne regrette absolument pas de t'avoir eu "

" Je suis si fière de toi "

" Je suis si fière de toi "

" Je suis si fière de toi "

- C'est vrai ? Lui demandais-je telle une gamine de six ans en manque d'amour.

KILLER LOVEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant