KILLER LOVE

CHAPITRE 4 : Vérité avoué

Ariela

Mes mains tremblent, allez savoir pourquoi, je n'en ai aucune idée. Je sais juste que je suis sur le chemin pour rejoindre ma sœur.

Et je flippe, je flippe totalement.

Encore plus que quand Ena ma trouver entrain de dormir sur son lit paisiblement alors que je l'avais abandonner en cours.

Et je peux vous le dire, c'était... Violent.

J'avais littéralement peur pour ma vie, Ena était pleine de ressources et surtout hyper énervé.

Je soupire alors que de loin j'observe ma sœur faire les cent pas devant l'université.

Dois-je vraiment y allée ?

Pourquoi ai-je si peur de ses explications ?

Je soupire pour la énième fois de la matinée, puis dans un courage sortie de je ne sais où, je sortais du coin où j'étais cacher me dirigeant vers ma sœur aînée.

Elle me vit presque immédiatement ce qui me fit m'arrêter quelques secondes, mais je me repris, prenant un expression impénétrables et sûre de moi, je m'approchais.

Certaine personne lorsqu'elle était en manque de confiance ça se voyais, a travers ses expressions où ses tenus, son comportement. Mais moi je faisais le contraire, je préférais montrer au gens un côté totalement faux de ma personne, mon côté narcissique.

Je ne l'étais pas, je me haïssait, hier j'ai craquer, j'ai fait une crise chez Ena, et j'ai pris tout ce que Ena me ramenait à manger et plus, je me déteste, mais je fais semblant.

Ma spécialité.

Et là en plus de cacher mon maque de confiance, je cache aussi ma crainte, la peur de la vérité, la peur de l'explication qu'elle veut m'offrir.

Qu'est ce qui pourrait justifier ce sourire et cette violence ?

Cette question tournait en boucle dans ma tête depuis hier.

Pourtant ce n'étais pas la seule, qui était l'homme qui tabassais l'autre mec, parce que même si notre joueur avait l'air plus petit, il était bien plus imposant que l'autre, comment a t-il fait pour le mettre au tapis ?

Trop, il y avait beaucoup trop de questions sans réponse, et sa me rendait folle, mais en même temps, je n'étais pas sûre de vouloir vraiment avoir une réponse.

C'est tellement contradictoire, que ça m'agaçais.

J'arrive à la hauteur de ma sœur, ses yeux exprime de l'appréhension et de l'inquiétude. Pourtant je ne vois pas pourquoi.

C'est pas comme si je l'avais vu sourire tel une sadique alors qu'un mec se faisais frapper dessus nonnnn.

Je sourie presque à ma pensée, presque, mais je me retenu en aspirant l'intérieur de ma joue.

- Tu es là... Soupire t-elle comme si elle en doutait.

En même temps, je n'ai pas vraiment répondu à son texto, mais, pour ma défense je me suis endormie et ensuite Ena s'est énervé puis j'ai oublié.

Je n'ai pas parlé à Ena de ce que j'ai vu, comme excuse pour mon départ précipité de l'université, je lui ai raconter un peu près le même mensonge qu'à son père sauf qu'à elle je lui ai dit que ma tête tournait et que je préférais rentrer plutôt que de faire un malaise en classe.

Je ne voulais pas l'inquiéter, je préférais pas lui en parler tant que je n'aurai pas reçu la raison qu'avait ma sœur, même si ça m'étonnerai pas mal qu'elle sois valable.