KILLER LOVE

CHAPITRE 18 : Mensonge

Ariela

Je force mon cerveau à ne pas s'éloigner, et je force mes pensées à ne pas dérivé.

- Comment ça tu as payé les dettes ? Je demande essayant de ne pas laissé mes émotions transpercé mon visage.

Ma sœur croise les bras contre sa poitrine et mon cœur se met à battre un peu plus fort.

- J'ai donnée à maman l'argent, elle a remboursé ses dettes, je gagne boucoup d'argent avec le métier que j'exerce, évidemment que je me suis empressée de vous aidez ! S'écrit-elle.

Malgré sa tirade, mon cerveau s'est centrée sur seulement cinq mots.

J'ai donnée à maman l'argent.

Mes pensées s'entremêlent alors que je commence à doucement me rendre compte que les messages de la banque se sont t'arrêter, que le stresse de maman par apport à l'argent n'a pas refait surface.

J'avale difficilement ma salive, puis je demande :

- Ce... Ça datte de combien de temps ?

Elle semble dans l'incompréhension de ma question, alors j'ajoute.

- Que tu as payé la dette, ça date de combien de temps ?

Mon ton fut plus agressive que ce que je voulais, mais j'ai bien trop de mal à contrôler le débordement d'émotion qui m'anime, et lorsque j'obtenis sa réponse, ce fut le coup de grâce :

- Le début de ma première année à l'université.

Je tombe des nudes alors que je repense à cette période, je travaillais d'arrache pied, je prenais tout mon temps libre pour travailler, je faisais mes devoir que très tard la nuit, mais tant que je les faisaient ma mère s'en moquait.

Elle s'est compléments foutu de ma gueule.

- Il... Il faut que j'y aille. Dis-je alors en tournant le dos à ma sœur aînée.

Son regard se fait une seconde inquiet mais le sourire forcé que je lui fait semble la convaincre, puis je m'éloigne en direction de la chambre de Miia.

Pourquoi est-ce qu'elle m'a mentis ?

Maman ne m'a jamais dit que les dettes avait été réglé.

Elle m'a pris mon argent, mon salaire, pendant deux ans.

Ma poitrine est douloureuse et mon cœur se compresse, qu'est-ce que c'est douloureux.

Pourquoi, pourquoi, pourquoi... Pourquoi ?

J'accélère mes mouvement en récupérant mes affaires, le fait que Miia est quitté sa chambre tout à l'heure m'arrange beaucoup je l'avoue.

Je me mors la lèvre inférieur lorsque je remarque que les larmes me sont monté au yeux, et je lève la tête en arrière les bloquant totalement.

Hors de question qu'une seule larme coule.

Je ne le permettrai pas.

Une fois les larmes versé disparut, je soupire et sans me posé une seconde, j'attrape mon sac et me dirige vers la sortie.